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Chapitre I

L’ENFANT, UN ÊTRE À FORMER

NOUVEAUX LIEUX, NOUVELLES INSTITUTIONS

DES RÉGENTS ET D’ANCIENS ÉLÈVES TÉMOIGNENT

BIBLIOTHÈQUE SONORE

Rien ne remplace la famille

1.3.1. Rien ne remplace la famille

Les pédagogues humanistes se penchent sur la première enfance, alors même qu’il s’agit d’un âge d’une grande vulnérabilité. Ils vantent notamment les bienfaits de l’allaitement maternel. La mère qui allaite elle-même son enfant, non seulement crée un lien avec lui, mais aussi, comme on le croit à l’époque, lui donne son courage, son caractère et ses traits physiques. Un dicton populaire dit que l’enfant nourri à la truie, prendra plaisir à se coucher dans la fange ! Les femmes des milieux plus aisés ont souvent recours à une nourrice, femme simple qui en a fait une profession. Elle risque d’avoir une mauvaise influence sur le bébé si elle est légère, bavarde ou vicieuse.

Le pot retient longuement la première mauvaise liqueur dont il est imbu, dit un autre dicton. Les toutes premières années de la vie de l’enfant sont celles durant lesquelles il va s’imprégner de la langue que l’on parle autour de lui, au moment où il va commencer à prononcer ses premiers mots. Il est donc essentiel que la nourrice parle une langue correcte, afin que l’enfant, une fois sevré, n’ait pas pris de mauvaises habitudes de langage.

Il n’est jamais trop tôt pour commencer l’éducation selon Érasme. Celle-ci requiert un climat d’amour, car l’affection que l’enfant reçoit au sein de sa famille le rendra apte à l’instruction. Ce premier lien de respect et de confiance lui permettra de tisser des liens similaires avec ses précepteurs ou maîtres d’école. La présence douce et bienveillante, ainsi que le dévouement parental sont une obligation selon Thomas More qui consacre à ses enfants, trois filles et un garçon, beaucoup de temps tout en vacant à ses devoirs de chancelier royal. Son exemple nous montre aussi que le devoir d’enseigner, doit aller de pair avec l’apprentissage de la civilité et de la piété religieuse, qui a elle-même pour modèle la piété filiale, comme il est dit dans un des proverbes de Salomon : Mon fils, écoute l’instruction de ton père, et n’abandonne point l’enseignement de ta mère.

Rien ne remplace la famille

1.3.1. Rien ne remplace la famille

Les pédagogues humanistes se penchent sur la première enfance, alors même qu’il s’agit d’un âge d’une grande vulnérabilité. Ils vantent notamment les bienfaits de l’allaitement maternel. La mère qui allaite elle-même son enfant, non seulement crée un lien avec lui, mais aussi, comme on le croit à l’époque, lui donne son courage, son caractère et ses traits physiques. Un dicton populaire dit que l’enfant nourri à la truie, prendra plaisir à se coucher dans la fange ! Les femmes des milieux plus aisés ont souvent recours à une nourrice, femme simple qui en a fait une profession. Elle risque d’avoir une mauvaise influence sur le bébé si elle est légère, bavarde ou vicieuse.

Le pot retient longuement la première mauvaise liqueur dont il est imbu, dit un autre dicton. Les toutes premières années de la vie de l’enfant sont celles durant lesquelles il va s’imprégner de la langue que l’on parle autour de lui, au moment où il va commencer à prononcer ses premiers mots. Il est donc essentiel que la nourrice parle une langue correcte, afin que l’enfant, une fois sevré, n’ait pas pris de mauvaises habitudes de langage.

Il n’est jamais trop tôt pour commencer l’éducation selon Érasme. Celle-ci requiert un climat d’amour, car l’affection que l’enfant reçoit au sein de sa famille le rendra apte à l’instruction. Ce premier lien de respect et de confiance lui permettra de tisser des liens similaires avec ses précepteurs ou maîtres d’école. La présence douce et bienveillante, ainsi que le dévouement parental sont une obligation selon Thomas More qui consacre à ses enfants, trois filles et un garçon, beaucoup de temps tout en vacant à ses devoirs de chancelier royal. Son exemple nous montre aussi que le devoir d’enseigner, doit aller de pair avec l’apprentissage de la civilité et de la piété religieuse, qui a elle-même pour modèle la piété filiale, comme il est dit dans un des proverbes de Salomon : Mon fils, écoute l’instruction de ton père, et n’abandonne point l’enseignement de ta mère.

Rien ne remplace la famille

1.3.1. Rien ne remplace la famille

Les pédagogues humanistes se penchent sur la première enfance, alors même qu’il s’agit d’un âge d’une grande vulnérabilité. Ils vantent notamment les bienfaits de l’allaitement maternel. La mère qui allaite elle-même son enfant, non seulement crée un lien avec lui, mais aussi, comme on le croit à l’époque, lui donne son courage, son caractère et ses traits physiques. Un dicton populaire dit que l’enfant nourri à la truie, prendra plaisir à se coucher dans la fange ! Les femmes des milieux plus aisés ont souvent recours à une nourrice, femme simple qui en a fait une profession. Elle risque d’avoir une mauvaise influence sur le bébé si elle est légère, bavarde ou vicieuse.

Le pot retient longuement la première mauvaise liqueur dont il est imbu, dit un autre dicton. Les toutes premières années de la vie de l’enfant sont celles durant lesquelles il va s’imprégner de la langue que l’on parle autour de lui, au moment où il va commencer à prononcer ses premiers mots. Il est donc essentiel que la nourrice parle une langue correcte, afin que l’enfant, une fois sevré, n’ait pas pris de mauvaises habitudes de langage.

Il n’est jamais trop tôt pour commencer l’éducation selon Érasme. Celle-ci requiert un climat d’amour, car l’affection que l’enfant reçoit au sein de sa famille le rendra apte à l’instruction. Ce premier lien de respect et de confiance lui permettra de tisser des liens similaires avec ses précepteurs ou maîtres d’école. La présence douce et bienveillante, ainsi que le dévouement parental sont une obligation selon Thomas More qui consacre à ses enfants, trois filles et un garçon, beaucoup de temps tout en vacant à ses devoirs de chancelier royal. Son exemple nous montre aussi que le devoir d’enseigner, doit aller de pair avec l’apprentissage de la civilité et de la piété religieuse, qui a elle-même pour modèle la piété filiale, comme il est dit dans un des proverbes de Salomon : Mon fils, écoute l’instruction de ton père, et n’abandonne point l’enseignement de ta mère.

Rien ne remplace la famille

1.3.1. Rien ne remplace la famille

Les pédagogues humanistes se penchent sur la première enfance, alors même qu’il s’agit d’un âge d’une grande vulnérabilité. Ils vantent notamment les bienfaits de l’allaitement maternel. La mère qui allaite elle-même son enfant, non seulement crée un lien avec lui, mais aussi, comme on le croit à l’époque, lui donne son courage, son caractère et ses traits physiques. Un dicton populaire dit que l’enfant nourri à la truie, prendra plaisir à se coucher dans la fange ! Les femmes des milieux plus aisés ont souvent recours à une nourrice, femme simple qui en a fait une profession. Elle risque d’avoir une mauvaise influence sur le bébé si elle est légère, bavarde ou vicieuse.

Le pot retient longuement la première mauvaise liqueur dont il est imbu, dit un autre dicton. Les toutes premières années de la vie de l’enfant sont celles durant lesquelles il va s’imprégner de la langue que l’on parle autour de lui, au moment où il va commencer à prononcer ses premiers mots. Il est donc essentiel que la nourrice parle une langue correcte, afin que l’enfant, une fois sevré, n’ait pas pris de mauvaises habitudes de langage.

Il n’est jamais trop tôt pour commencer l’éducation selon Érasme. Celle-ci requiert un climat d’amour, car l’affection que l’enfant reçoit au sein de sa famille le rendra apte à l’instruction. Ce premier lien de respect et de confiance lui permettra de tisser des liens similaires avec ses précepteurs ou maîtres d’école. La présence douce et bienveillante, ainsi que le dévouement parental sont une obligation selon Thomas More qui consacre à ses enfants, trois filles et un garçon, beaucoup de temps tout en vacant à ses devoirs de chancelier royal. Son exemple nous montre aussi que le devoir d’enseigner, doit aller de pair avec l’apprentissage de la civilité et de la piété religieuse, qui a elle-même pour modèle la piété filiale, comme il est dit dans un des proverbes de Salomon : Mon fils, écoute l’instruction de ton père, et n’abandonne point l’enseignement de ta mère.