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VI. Regarder autrement, pour faire boule de neige

L’ENFANT, UN ÊTRE À FORMER

NOUVEAUX LIEUX, NOUVELLES INSTITUTIONS

DES RÉGENTS ET D’ANCIENS ÉLÈVES TÉMOIGNENT

BIBLIOTHÈQUE SONORE

  • Ces portraits et leur analyse nous invitent finalement à regarder autrement, pas seulement du côté des compétences qui manquent, mais aussi de la multiplicité de celles déjà-là, construites dans l’expérience des contacts de langues.
  • Les portraits des collégiens (en particulier mais pas seulement) montrent la diversité des pratiques plurilingues et savoirs-faire langagiers, une ouverture à l’appropriation, une réflexivité forte entre les langues qui les amènent à déployer, consciemment ou inconsciemment, des stratégies diverses d’observations et de mises en lien, de comparaisons, de rapprochements, et de transferts … pour en déduire des hypothèses, progresser dans la compréhension, pour passer d’une langue à l’autre, entrer dans l’une en s’appuyant sur l’autre.
  • Comme on l’a vu aussi, ces ressources multiples ne sont pas forcément conscientisées en termes de compétences sur lesquelles s’appuyer pour entrer et/ou renforcer les apprentissages, montrant encore le poids des idéologies hiérarchisant la valeur des langues et des plurilinguismes.
  • On voit enfin dans ces portraits que la conflictualité linguistique produit des blocages, mais aussi de la créativité, dans les pratiques artistiques qui donnent à construire d’autres relations à ses langues, les produire différemment [p-12, 18], mais aussi dans les trajectoires marquées par des processus d’affranchissement, donnant aux locuteurs à assumer de renverser des rapports de force.
  • La créativité apparait aussi et enfin dans toutes ces stratégies et cette réflexivité pluri-/inter-lingue, dans un rapport non inhibé à l’altérité, la différence, la diversité, très facilement source de curiosité, une appropriation globalement facile… SAUF, apparemment, de façon récurrente et à tous les âges, concernant le français.

Merci de votre lecture ! À suivre… http://cren.univ-nantes.fr/

Plan de l’exposition →
Imaginaires plurilingues entre familles et écoles : expériences, parcours, démarches didactiques
  • Ces portraits et leur analyse nous invitent finalement à regarder autrement, pas seulement du côté des compétences qui manquent, mais aussi de la multiplicité de celles déjà-là, construites dans l’expérience des contacts de langues.
  • Les portraits des collégiens (en particulier mais pas seulement) montrent la diversité des pratiques plurilingues et savoirs-faire langagiers, une ouverture à l’appropriation, une réflexivité forte entre les langues qui les amènent à déployer, consciemment ou inconsciemment, des stratégies diverses d’observations et de mises en lien, de comparaisons, de rapprochements, et de transferts … pour en déduire des hypothèses, progresser dans la compréhension, pour passer d’une langue à l’autre, entrer dans l’une en s’appuyant sur l’autre.
  • Comme on l’a vu aussi, ces ressources multiples ne sont pas forcément conscientisées en termes de compétences sur lesquelles s’appuyer pour entrer et/ou renforcer les apprentissages, montrant encore le poids des idéologies hiérarchisant la valeur des langues et des plurilinguismes.
  • On voit enfin dans ces portraits que la conflictualité linguistique produit des blocages, mais aussi de la créativité, dans les pratiques artistiques qui donnent à construire d’autres relations à ses langues, les produire différemment [p-12, 18], mais aussi dans les trajectoires marquées par des processus d’affranchissement, donnant aux locuteurs à assumer de renverser des rapports de force.
  • La créativité apparait aussi et enfin dans toutes ces stratégies et cette réflexivité pluri-/inter-lingue, dans un rapport non inhibé à l’altérité, la différence, la diversité, très facilement source de curiosité, une appropriation globalement facile… SAUF, apparemment, de façon récurrente et à tous les âges, concernant le français.

Merci de votre lecture ! À suivre… http://cren.univ-nantes.fr/

  • Ces portraits et leur analyse nous invitent finalement à regarder autrement, pas seulement du côté des compétences qui manquent, mais aussi de la multiplicité de celles déjà-là, construites dans l’expérience des contacts de langues.
  • Les portraits des collégiens (en particulier mais pas seulement) montrent la diversité des pratiques plurilingues et savoirs-faire langagiers, une ouverture à l’appropriation, une réflexivité forte entre les langues qui les amènent à déployer, consciemment ou inconsciemment, des stratégies diverses d’observations et de mises en lien, de comparaisons, de rapprochements, et de transferts … pour en déduire des hypothèses, progresser dans la compréhension, pour passer d’une langue à l’autre, entrer dans l’une en s’appuyant sur l’autre.
  • Comme on l’a vu aussi, ces ressources multiples ne sont pas forcément conscientisées en termes de compétences sur lesquelles s’appuyer pour entrer et/ou renforcer les apprentissages, montrant encore le poids des idéologies hiérarchisant la valeur des langues et des plurilinguismes.
  • On voit enfin dans ces portraits que la conflictualité linguistique produit des blocages, mais aussi de la créativité, dans les pratiques artistiques qui donnent à construire d’autres relations à ses langues, les produire différemment [p-12, 18], mais aussi dans les trajectoires marquées par des processus d’affranchissement, donnant aux locuteurs à assumer de renverser des rapports de force.
  • La créativité apparait aussi et enfin dans toutes ces stratégies et cette réflexivité pluri-/inter-lingue, dans un rapport non inhibé à l’altérité, la différence, la diversité, très facilement source de curiosité, une appropriation globalement facile… SAUF, apparemment, de façon récurrente et à tous les âges, concernant le français.

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  • Ces portraits et leur analyse nous invitent finalement à regarder autrement, pas seulement du côté des compétences qui manquent, mais aussi de la multiplicité de celles déjà-là, construites dans l’expérience des contacts de langues.
  • Les portraits des collégiens (en particulier mais pas seulement) montrent la diversité des pratiques plurilingues et savoirs-faire langagiers, une ouverture à l’appropriation, une réflexivité forte entre les langues qui les amènent à déployer, consciemment ou inconsciemment, des stratégies diverses d’observations et de mises en lien, de comparaisons, de rapprochements, et de transferts … pour en déduire des hypothèses, progresser dans la compréhension, pour passer d’une langue à l’autre, entrer dans l’une en s’appuyant sur l’autre.
  • Comme on l’a vu aussi, ces ressources multiples ne sont pas forcément conscientisées en termes de compétences sur lesquelles s’appuyer pour entrer et/ou renforcer les apprentissages, montrant encore le poids des idéologies hiérarchisant la valeur des langues et des plurilinguismes.
  • On voit enfin dans ces portraits que la conflictualité linguistique produit des blocages, mais aussi de la créativité, dans les pratiques artistiques qui donnent à construire d’autres relations à ses langues, les produire différemment [p-12, 18], mais aussi dans les trajectoires marquées par des processus d’affranchissement, donnant aux locuteurs à assumer de renverser des rapports de force.
  • La créativité apparait aussi et enfin dans toutes ces stratégies et cette réflexivité pluri-/inter-lingue, dans un rapport non inhibé à l’altérité, la différence, la diversité, très facilement source de curiosité, une appropriation globalement facile… SAUF, apparemment, de façon récurrente et à tous les âges, concernant le français.

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