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Le CIE est « à la disposition des institutions spécialisées et des services de l’ONU ainsi que des différentes institutions nationales qui s’occupent de santé maternelle et infantile ». Ses statuts prévoient une concertation annuelle des représentants des organisations des Nations unies spécialisées dans les problèmes de l’enfance. Son action est donc tout entière placée sous le signe du partenariat et de la collaboration ; le développement des relations interpersonnelles ou institutionnelles est un de ses objectifs.

Conventions passées entre le CIE et divers organismes pour l’année 1993

Conventions passées entre le CIE et divers organismes pour l’année 1993

En France

Le CIE entretient naturellement des relations avec les ministères qui sont ses principaux financeurs, Affaires étrangères, Coopération, Santé et Affaires sociales, Recherche. Sur le terrain, notamment par des visites, il est en contact avec nombre d’hôpitaux et de structures de PMI (protection maternelle infantile). De ce point de vue, il accompagne le développement des politiques publiques de PMI lancées aux lendemains de la seconde guerre mondiale. Des actions de prévention et de lutte contre le SIDA sont conduites avec les conseils régionaux, notamment le conseil régional d’Île-de-France.

Robert Debré en compagnie de Paulo Carneiro, délégué permanent du Brésil à l’UNESCO et Marcolino Gomes Candeau, directeur général de l’OMS, 1953

Robert Debré en compagnie de Paulo Carneiro, délégué permanent du Brésil à l’UNESCO et Marcolino Gomes Candeau, directeur général de l’OMS, 1953

Maurice Pate, directeur général de l’UNICEF, en compagnie d’une auditrice d’un cours du CIE dans les années 1950

Contenu sélectionné : Maurice Pate, directeur général de l’UNICEF, en compagnie d’une auditrice d’un cours du CIE dans les années 1950

À l’étranger

Les relations avec l’UNICEF et l’OMS sont anciennes et privilégiées, le CIE ayant le statut de centre collaborateur et signant régulièrement des conventions-cadre avec ces organismes. Il travaille aussi pour des actions de terrain, de recherche, de formation et de diffusion  d’information avec l’UNESCO, le PNUD, le FNUAP, l’OIT, le FAO, la Banque mondiale ainsi que la Communauté européenne et plus particulièrement avec la Direction générale XII chargée
de la recherche avec laquelle il mène le projet « Eurepi » sur les vaccinations en Europe. Des liens se nouent aussi avec les ONG de terrain, par exemple à l’occasion du projet « soutien de l’enfance défavorisée au Brésil ».

Luther Evans, directeur général de l’UNESCO, visite les laboratoires du CIE dans les années 1950

Luther Evans, directeur général de l’UNESCO, visite les  laboratoires du CIE dans les années 1950

Ordre de mission de l’UNICEF en faveur de Daniel Lévy-Bruhl du CIE pour une enquête de couverture maximale au Bénin, 1990

Ordre de mission de l’UNICEF en faveur de Daniel Lévy-Bruhl du CIE pour une enquête de couverture maximale au Bénin, 1990

En recherche

Robert Debré en compagnie de Paulo Carneiro, délégué permanent du Brésil à l’UNESCO et Marcolino Gomes Candeau, directeur général de l’OMS, 1953. (Bibl. univ. Angers, 1 CIDEF 612).
Maurice Pate, directeur général de l’UNICEF, en compagnie d’une auditrice d’un cours du CIE dans les années 1950 (Bibl. univ. Angers, 1 CIDEF 01). Fondé à une époque où les grands organismes de recherche spécialisés n’existent pas ou sont encore récents, le CIE sert d’abord de base à nombre de projets et, ainsi, participe à leur gestation. Le CIE abrite l’unité INSERM 73 « infirmités d’origine virale » de 1967 à 1973. Avec le CNRS, le CIE mène, entre autres, une analyse économique des stratégies de financement du médicament en 1991. Avec les universités françaises et étrangères, les relations peuvent être très étroites : l’enseignement sur la santé de la mère et de l’enfant débouche sur un diplôme d’université par l’université de Paris V après soutenance d’un mémoire. Enfin, le CIE a des échanges réguliers avec de très nombreuses associations ou sociétés savantes françaises et étrangères.

Le CIE est « à la disposition des institutions spécialisées et des services de l’ONU ainsi que des différentes institutions nationales qui s’occupent de santé maternelle et infantile ». Ses statuts prévoient une concertation annuelle des représentants des organisations des Nations unies spécialisées dans les problèmes de l’enfance. Son action est donc tout entière placée sous le signe du partenariat et de la collaboration ; le développement des relations interpersonnelles ou institutionnelles est un de ses objectifs.

Conventions passées entre le CIE et divers organismes pour l’année 1993

Conventions passées entre le CIE et divers organismes pour l’année 1993

En France

Le CIE entretient naturellement des relations avec les ministères qui sont ses principaux financeurs, Affaires étrangères, Coopération, Santé et Affaires sociales, Recherche. Sur le terrain, notamment par des visites, il est en contact avec nombre d’hôpitaux et de structures de PMI (protection maternelle infantile). De ce point de vue, il accompagne le développement des politiques publiques de PMI lancées aux lendemains de la seconde guerre mondiale. Des actions de prévention et de lutte contre le SIDA sont conduites avec les conseils régionaux, notamment le conseil régional d’Île-de-France.

Robert Debré en compagnie de Paulo Carneiro, délégué permanent du Brésil à l’UNESCO et Marcolino Gomes Candeau, directeur général de l’OMS, 1953

Robert Debré en compagnie de Paulo Carneiro, délégué permanent du Brésil à l’UNESCO et Marcolino Gomes Candeau, directeur général de l’OMS, 1953

Maurice Pate, directeur général de l’UNICEF, en compagnie d’une auditrice d’un cours du CIE dans les années 1950

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À l’étranger

Les relations avec l’UNICEF et l’OMS sont anciennes et privilégiées, le CIE ayant le statut de centre collaborateur et signant régulièrement des conventions-cadre avec ces organismes. Il travaille aussi pour des actions de terrain, de recherche, de formation et de diffusion  d’information avec l’UNESCO, le PNUD, le FNUAP, l’OIT, le FAO, la Banque mondiale ainsi que la Communauté européenne et plus particulièrement avec la Direction générale XII chargée
de la recherche avec laquelle il mène le projet « Eurepi » sur les vaccinations en Europe. Des liens se nouent aussi avec les ONG de terrain, par exemple à l’occasion du projet « soutien de l’enfance défavorisée au Brésil ».

Luther Evans, directeur général de l’UNESCO, visite les laboratoires du CIE dans les années 1950

Luther Evans, directeur général de l’UNESCO, visite les  laboratoires du CIE dans les années 1950

Ordre de mission de l’UNICEF en faveur de Daniel Lévy-Bruhl du CIE pour une enquête de couverture maximale au Bénin, 1990

Ordre de mission de l’UNICEF en faveur de Daniel Lévy-Bruhl du CIE pour une enquête de couverture maximale au Bénin, 1990

En recherche

Robert Debré en compagnie de Paulo Carneiro, délégué permanent du Brésil à l’UNESCO et Marcolino Gomes Candeau, directeur général de l’OMS, 1953. (Bibl. univ. Angers, 1 CIDEF 612).
Maurice Pate, directeur général de l’UNICEF, en compagnie d’une auditrice d’un cours du CIE dans les années 1950 (Bibl. univ. Angers, 1 CIDEF 01). Fondé à une époque où les grands organismes de recherche spécialisés n’existent pas ou sont encore récents, le CIE sert d’abord de base à nombre de projets et, ainsi, participe à leur gestation. Le CIE abrite l’unité INSERM 73 « infirmités d’origine virale » de 1967 à 1973. Avec le CNRS, le CIE mène, entre autres, une analyse économique des stratégies de financement du médicament en 1991. Avec les universités françaises et étrangères, les relations peuvent être très étroites : l’enseignement sur la santé de la mère et de l’enfant débouche sur un diplôme d’université par l’université de Paris V après soutenance d’un mémoire. Enfin, le CIE a des échanges réguliers avec de très nombreuses associations ou sociétés savantes françaises et étrangères.

Le CIE est « à la disposition des institutions spécialisées et des services de l’ONU ainsi que des différentes institutions nationales qui s’occupent de santé maternelle et infantile ». Ses statuts prévoient une concertation annuelle des représentants des organisations des Nations unies spécialisées dans les problèmes de l’enfance. Son action est donc tout entière placée sous le signe du partenariat et de la collaboration ; le développement des relations interpersonnelles ou institutionnelles est un de ses objectifs.

Conventions passées entre le CIE et divers organismes pour l’année 1993

Conventions passées entre le CIE et divers organismes pour l’année 1993

En France

Le CIE entretient naturellement des relations avec les ministères qui sont ses principaux financeurs, Affaires étrangères, Coopération, Santé et Affaires sociales, Recherche. Sur le terrain, notamment par des visites, il est en contact avec nombre d’hôpitaux et de structures de PMI (protection maternelle infantile). De ce point de vue, il accompagne le développement des politiques publiques de PMI lancées aux lendemains de la seconde guerre mondiale. Des actions de prévention et de lutte contre le SIDA sont conduites avec les conseils régionaux, notamment le conseil régional d’Île-de-France.

Robert Debré en compagnie de Paulo Carneiro, délégué permanent du Brésil à l’UNESCO et Marcolino Gomes Candeau, directeur général de l’OMS, 1953

Robert Debré en compagnie de Paulo Carneiro, délégué permanent du Brésil à l’UNESCO et Marcolino Gomes Candeau, directeur général de l’OMS, 1953

Maurice Pate, directeur général de l’UNICEF, en compagnie d’une auditrice d’un cours du CIE dans les années 1950

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À l’étranger

Les relations avec l’UNICEF et l’OMS sont anciennes et privilégiées, le CIE ayant le statut de centre collaborateur et signant régulièrement des conventions-cadre avec ces organismes. Il travaille aussi pour des actions de terrain, de recherche, de formation et de diffusion  d’information avec l’UNESCO, le PNUD, le FNUAP, l’OIT, le FAO, la Banque mondiale ainsi que la Communauté européenne et plus particulièrement avec la Direction générale XII chargée
de la recherche avec laquelle il mène le projet « Eurepi » sur les vaccinations en Europe. Des liens se nouent aussi avec les ONG de terrain, par exemple à l’occasion du projet « soutien de l’enfance défavorisée au Brésil ».

Luther Evans, directeur général de l’UNESCO, visite les laboratoires du CIE dans les années 1950

Luther Evans, directeur général de l’UNESCO, visite les  laboratoires du CIE dans les années 1950

Ordre de mission de l’UNICEF en faveur de Daniel Lévy-Bruhl du CIE pour une enquête de couverture maximale au Bénin, 1990

Ordre de mission de l’UNICEF en faveur de Daniel Lévy-Bruhl du CIE pour une enquête de couverture maximale au Bénin, 1990

En recherche

Robert Debré en compagnie de Paulo Carneiro, délégué permanent du Brésil à l’UNESCO et Marcolino Gomes Candeau, directeur général de l’OMS, 1953. (Bibl. univ. Angers, 1 CIDEF 612).
Maurice Pate, directeur général de l’UNICEF, en compagnie d’une auditrice d’un cours du CIE dans les années 1950 (Bibl. univ. Angers, 1 CIDEF 01). Fondé à une époque où les grands organismes de recherche spécialisés n’existent pas ou sont encore récents, le CIE sert d’abord de base à nombre de projets et, ainsi, participe à leur gestation. Le CIE abrite l’unité INSERM 73 « infirmités d’origine virale » de 1967 à 1973. Avec le CNRS, le CIE mène, entre autres, une analyse économique des stratégies de financement du médicament en 1991. Avec les universités françaises et étrangères, les relations peuvent être très étroites : l’enseignement sur la santé de la mère et de l’enfant débouche sur un diplôme d’université par l’université de Paris V après soutenance d’un mémoire. Enfin, le CIE a des échanges réguliers avec de très nombreuses associations ou sociétés savantes françaises et étrangères.

Le CIE est « à la disposition des institutions spécialisées et des services de l’ONU ainsi que des différentes institutions nationales qui s’occupent de santé maternelle et infantile ». Ses statuts prévoient une concertation annuelle des représentants des organisations des Nations unies spécialisées dans les problèmes de l’enfance. Son action est donc tout entière placée sous le signe du partenariat et de la collaboration ; le développement des relations interpersonnelles ou institutionnelles est un de ses objectifs.

Conventions passées entre le CIE et divers organismes pour l’année 1993

Conventions passées entre le CIE et divers organismes pour l’année 1993

En France

Le CIE entretient naturellement des relations avec les ministères qui sont ses principaux financeurs, Affaires étrangères, Coopération, Santé et Affaires sociales, Recherche. Sur le terrain, notamment par des visites, il est en contact avec nombre d’hôpitaux et de structures de PMI (protection maternelle infantile). De ce point de vue, il accompagne le développement des politiques publiques de PMI lancées aux lendemains de la seconde guerre mondiale. Des actions de prévention et de lutte contre le SIDA sont conduites avec les conseils régionaux, notamment le conseil régional d’Île-de-France.

Robert Debré en compagnie de Paulo Carneiro, délégué permanent du Brésil à l’UNESCO et Marcolino Gomes Candeau, directeur général de l’OMS, 1953

Robert Debré en compagnie de Paulo Carneiro, délégué permanent du Brésil à l’UNESCO et Marcolino Gomes Candeau, directeur général de l’OMS, 1953

Maurice Pate, directeur général de l’UNICEF, en compagnie d’une auditrice d’un cours du CIE dans les années 1950

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À l’étranger

Les relations avec l’UNICEF et l’OMS sont anciennes et privilégiées, le CIE ayant le statut de centre collaborateur et signant régulièrement des conventions-cadre avec ces organismes. Il travaille aussi pour des actions de terrain, de recherche, de formation et de diffusion  d’information avec l’UNESCO, le PNUD, le FNUAP, l’OIT, le FAO, la Banque mondiale ainsi que la Communauté européenne et plus particulièrement avec la Direction générale XII chargée
de la recherche avec laquelle il mène le projet « Eurepi » sur les vaccinations en Europe. Des liens se nouent aussi avec les ONG de terrain, par exemple à l’occasion du projet « soutien de l’enfance défavorisée au Brésil ».

Luther Evans, directeur général de l’UNESCO, visite les laboratoires du CIE dans les années 1950

Luther Evans, directeur général de l’UNESCO, visite les  laboratoires du CIE dans les années 1950

Ordre de mission de l’UNICEF en faveur de Daniel Lévy-Bruhl du CIE pour une enquête de couverture maximale au Bénin, 1990

Ordre de mission de l’UNICEF en faveur de Daniel Lévy-Bruhl du CIE pour une enquête de couverture maximale au Bénin, 1990

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Robert Debré en compagnie de Paulo Carneiro, délégué permanent du Brésil à l’UNESCO et Marcolino Gomes Candeau, directeur général de l’OMS, 1953. (Bibl. univ. Angers, 1 CIDEF 612).
Maurice Pate, directeur général de l’UNICEF, en compagnie d’une auditrice d’un cours du CIE dans les années 1950 (Bibl. univ. Angers, 1 CIDEF 01). Fondé à une époque où les grands organismes de recherche spécialisés n’existent pas ou sont encore récents, le CIE sert d’abord de base à nombre de projets et, ainsi, participe à leur gestation. Le CIE abrite l’unité INSERM 73 « infirmités d’origine virale » de 1967 à 1973. Avec le CNRS, le CIE mène, entre autres, une analyse économique des stratégies de financement du médicament en 1991. Avec les universités françaises et étrangères, les relations peuvent être très étroites : l’enseignement sur la santé de la mère et de l’enfant débouche sur un diplôme d’université par l’université de Paris V après soutenance d’un mémoire. Enfin, le CIE a des échanges réguliers avec de très nombreuses associations ou sociétés savantes françaises et étrangères.

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