Chapitre I
L’ENFANT, UN ÊTRE À FORMER
NOUVEAUX LIEUX, NOUVELLES INSTITUTIONS
DES RÉGENTS ET D’ANCIENS ÉLÈVES TÉMOIGNENT
BIBLIOTHÈQUE SONORE

Principes du latin

Quand les enfants atteignent l’âge de neuf-dix ans, le maître choisit parmi eux ceux qui apprendront le latin. Il sélectionne les enfants les plus diligents qui ont une bonne mémoire et un esprit vif et dont les parents ont suffisamment de moyens pour qu’ils puissent continuer leurs études. L’apprentissage du latin est long, difficile et cher. À part payer l’écolage, il faut acheter de nouveaux livres, au moins un manuel de grammaire et un dictionnaire.
Les écoliers latins commencent par apprendre par cœur les déclinaisons. Ils notent dans leurs cahiers chaque jour de nouveaux noms latins avec les terminaisons des cas et doivent les décliner toute la journée. Le samedi, ils répètent tout ce qu’ils ont appris durant la semaine. Ils apprennent ensuite des éléments de grammaire, les différentes parties du discours, les temps.
Dès qu’ils connaissent les règles de déclinaison et de conjugaison, ils peuvent traduire en latin (exercice de « thème ») des phrases simples comme « Dieu est bon, car il aime les hommes » ou « La Vierge est sainte ». Ils traduisent aussi les fragments du catéchisme. Ils deviennent alors « composants » et occupent les places les plus honorables dans la salle d’école.


Le manuel de grammaire latine écrit au IVe siècle par Aelius Donatus est utilisé à l’école tout au long du Moyen Âge. Bien qu’il soit jugé inefficace par les maîtres et rebutant par les élèves, il continue à être utilisé à la Renaissance dans les petites écoles. Les règles de grammaire et les définitions sont à réciter telles quelles de mémoire.
Aelii Donati Methodus, Lyon, S. Gryphe, 1540, p. 6 © Médiathèque Louis Aragon, Le Mans (Photo : NW).
Ce livre a été numérisé dans le cadre du projet "Bibliothèques humanistes ligériennes" - Equipex Biblissima (BVH)


Le manuel d’un jésuite Jean Depautière, publié en 1537, qui présente les rudiments de la langue latine, devait remplacer l’ancien manuel écrit par Donat. Même si l’objectif de cette nouvelle méthode était de faciliter l’apprentissage de la langue, la façon de présenter les règles latines ne diffère pas beaucoup des « donats ». Les deux manuels continuent à être utilisés au XVIe siècle, celui de Donat dans les petites écoles, et celui de Depautière dans les collèges.
Jean Despautère, Joh. Despauterii Ninivit. commentarii grammatici, id est : rudimenta, prima pars : syntaxis, ars versificatoria, de accentibus de carminum generibus, de figuris, ars epistolica, orthographia, Paris. R. Estienne, 1537, p. 3 © Médiathèque Louis Aragon, Le Mans (Photo : NW)


Finalement, les anciennes et les nouvelles méthodes coexistent dans les écoles. Dans les nouveaux manuels, l’effort est fait pour rendre la matière à la portée de l’enfant et faciliter la mémorisation. Ce manuel de grammaire dialogué propose un jeu de questions et réponses entre un maître et son disciple.
Rudimenta latino-gallica, cum accentibus, Paris, Ch. Etienne, 1569, p. 3 © Médiathèque Louis Aragon, Le Mans (Photo : NW)


Des meilleurs usuels scolaires circulent en Europe. Celui-ci est une des nombreuses rééditions du célèbre dictionnaire latin-français à l’usage pédagogique publié d’abord par Robert Estienne. Il a été utilisé dans le gymnase de Chelm en Pologne (1692-1816). Il est relié avec son pendant français-latin, intitulé Les mots francois selon lordre des lettres.
Dictionariolum puerorum, Paris, R. Estienne, 1560 © Bibliothèque universitaire de Poznań (Photo : Anna Loba)


Le florilège de sentences latines puisées dans les comédies de Térence, poète comique latin du IIe s. avant J.-C., est proposé aux élèves avec les traductions en plusieurs langues européennes, notamment en allemand.
Latine dicendi formulae ad informandem puerilem linguam, ex terentio collectae, per Paulum perdicem, Francfort-sur-l’Oder, J. Eichorn, 1545 © Bibliothèque universitaire de Poznań (Photo : Anna Loba)


Les Distiches moraux de Caton furent une des sources principales de sentences latines à apprendre par cœur. Ce recueil de maximes brèves fut employé dans l’enseignement élémentaire du latin depuis le Moyen Âge, à travers le XVIe siècle sous l’influence d’Érasme, jusqu’au XIXe siècle. Cet exemplaire a été utilisé en Pologne. Il porte les annotations en polonais de la main de son propriéraire appelé Matheus.
Catonis Disticha Moralia, cum scholiis auctis Erasmi Roterodami, Cologne, H. Fuchs, 1523, f. Aiiij r° © Bibliothèque universitaire de Poznań (Photo : Karolina Borowa)

Principes du latin

Quand les enfants atteignent l’âge de neuf-dix ans, le maître choisit parmi eux ceux qui apprendront le latin. Il sélectionne les enfants les plus diligents qui ont une bonne mémoire et un esprit vif et dont les parents ont suffisamment de moyens pour qu’ils puissent continuer leurs études. L’apprentissage du latin est long, difficile et cher. À part payer l’écolage, il faut acheter de nouveaux livres, au moins un manuel de grammaire et un dictionnaire.
Les écoliers latins commencent par apprendre par cœur les déclinaisons. Ils notent dans leurs cahiers chaque jour de nouveaux noms latins avec les terminaisons des cas et doivent les décliner toute la journée. Le samedi, ils répètent tout ce qu’ils ont appris durant la semaine. Ils apprennent ensuite des éléments de grammaire, les différentes parties du discours, les temps.
Dès qu’ils connaissent les règles de déclinaison et de conjugaison, ils peuvent traduire en latin (exercice de « thème ») des phrases simples comme « Dieu est bon, car il aime les hommes » ou « La Vierge est sainte ». Ils traduisent aussi les fragments du catéchisme. Ils deviennent alors « composants » et occupent les places les plus honorables dans la salle d’école.


Le manuel de grammaire latine écrit au IVe siècle par Aelius Donatus est utilisé à l’école tout au long du Moyen Âge. Bien qu’il soit jugé inefficace par les maîtres et rebutant par les élèves, il continue à être utilisé à la Renaissance dans les petites écoles. Les règles de grammaire et les définitions sont à réciter telles quelles de mémoire.
Aelii Donati Methodus, Lyon, S. Gryphe, 1540, p. 6 © Médiathèque Louis Aragon, Le Mans (Photo : NW).
Ce livre a été numérisé dans le cadre du projet "Bibliothèques humanistes ligériennes" - Equipex Biblissima (BVH)


Le manuel d’un jésuite Jean Depautière, publié en 1537, qui présente les rudiments de la langue latine, devait remplacer l’ancien manuel écrit par Donat. Même si l’objectif de cette nouvelle méthode était de faciliter l’apprentissage de la langue, la façon de présenter les règles latines ne diffère pas beaucoup des « donats ». Les deux manuels continuent à être utilisés au XVIe siècle, celui de Donat dans les petites écoles, et celui de Depautière dans les collèges.
Jean Despautère, Joh. Despauterii Ninivit. commentarii grammatici, id est : rudimenta, prima pars : syntaxis, ars versificatoria, de accentibus de carminum generibus, de figuris, ars epistolica, orthographia, Paris. R. Estienne, 1537, p. 3 © Médiathèque Louis Aragon, Le Mans (Photo : NW)


Finalement, les anciennes et les nouvelles méthodes coexistent dans les écoles. Dans les nouveaux manuels, l’effort est fait pour rendre la matière à la portée de l’enfant et faciliter la mémorisation. Ce manuel de grammaire dialogué propose un jeu de questions et réponses entre un maître et son disciple.
Rudimenta latino-gallica, cum accentibus, Paris, Ch. Etienne, 1569, p. 3 © Médiathèque Louis Aragon, Le Mans (Photo : NW)


Des meilleurs usuels scolaires circulent en Europe. Celui-ci est une des nombreuses rééditions du célèbre dictionnaire latin-français à l’usage pédagogique publié d’abord par Robert Estienne. Il a été utilisé dans le gymnase de Chelm en Pologne (1692-1816). Il est relié avec son pendant français-latin, intitulé Les mots francois selon lordre des lettres.
Dictionariolum puerorum, Paris, R. Estienne, 1560 © Bibliothèque universitaire de Poznań (Photo : Anna Loba)


Le florilège de sentences latines puisées dans les comédies de Térence, poète comique latin du IIe s. avant J.-C., est proposé aux élèves avec les traductions en plusieurs langues européennes, notamment en allemand.
Latine dicendi formulae ad informandem puerilem linguam, ex terentio collectae, per Paulum perdicem, Francfort-sur-l’Oder, J. Eichorn, 1545 © Bibliothèque universitaire de Poznań (Photo : Anna Loba)


Les Distiches moraux de Caton furent une des sources principales de sentences latines à apprendre par cœur. Ce recueil de maximes brèves fut employé dans l’enseignement élémentaire du latin depuis le Moyen Âge, à travers le XVIe siècle sous l’influence d’Érasme, jusqu’au XIXe siècle. Cet exemplaire a été utilisé en Pologne. Il porte les annotations en polonais de la main de son propriéraire appelé Matheus.
Catonis Disticha Moralia, cum scholiis auctis Erasmi Roterodami, Cologne, H. Fuchs, 1523, f. Aiiij r° © Bibliothèque universitaire de Poznań (Photo : Karolina Borowa)

Principes du latin

Quand les enfants atteignent l’âge de neuf-dix ans, le maître choisit parmi eux ceux qui apprendront le latin. Il sélectionne les enfants les plus diligents qui ont une bonne mémoire et un esprit vif et dont les parents ont suffisamment de moyens pour qu’ils puissent continuer leurs études. L’apprentissage du latin est long, difficile et cher. À part payer l’écolage, il faut acheter de nouveaux livres, au moins un manuel de grammaire et un dictionnaire.
Les écoliers latins commencent par apprendre par cœur les déclinaisons. Ils notent dans leurs cahiers chaque jour de nouveaux noms latins avec les terminaisons des cas et doivent les décliner toute la journée. Le samedi, ils répètent tout ce qu’ils ont appris durant la semaine. Ils apprennent ensuite des éléments de grammaire, les différentes parties du discours, les temps.
Dès qu’ils connaissent les règles de déclinaison et de conjugaison, ils peuvent traduire en latin (exercice de « thème ») des phrases simples comme « Dieu est bon, car il aime les hommes » ou « La Vierge est sainte ». Ils traduisent aussi les fragments du catéchisme. Ils deviennent alors « composants » et occupent les places les plus honorables dans la salle d’école.


Le manuel de grammaire latine écrit au IVe siècle par Aelius Donatus est utilisé à l’école tout au long du Moyen Âge. Bien qu’il soit jugé inefficace par les maîtres et rebutant par les élèves, il continue à être utilisé à la Renaissance dans les petites écoles. Les règles de grammaire et les définitions sont à réciter telles quelles de mémoire.
Aelii Donati Methodus, Lyon, S. Gryphe, 1540, p. 6 © Médiathèque Louis Aragon, Le Mans (Photo : NW).
Ce livre a été numérisé dans le cadre du projet "Bibliothèques humanistes ligériennes" - Equipex Biblissima (BVH)


Le manuel d’un jésuite Jean Depautière, publié en 1537, qui présente les rudiments de la langue latine, devait remplacer l’ancien manuel écrit par Donat. Même si l’objectif de cette nouvelle méthode était de faciliter l’apprentissage de la langue, la façon de présenter les règles latines ne diffère pas beaucoup des « donats ». Les deux manuels continuent à être utilisés au XVIe siècle, celui de Donat dans les petites écoles, et celui de Depautière dans les collèges.
Jean Despautère, Joh. Despauterii Ninivit. commentarii grammatici, id est : rudimenta, prima pars : syntaxis, ars versificatoria, de accentibus de carminum generibus, de figuris, ars epistolica, orthographia, Paris. R. Estienne, 1537, p. 3 © Médiathèque Louis Aragon, Le Mans (Photo : NW)


Finalement, les anciennes et les nouvelles méthodes coexistent dans les écoles. Dans les nouveaux manuels, l’effort est fait pour rendre la matière à la portée de l’enfant et faciliter la mémorisation. Ce manuel de grammaire dialogué propose un jeu de questions et réponses entre un maître et son disciple.
Rudimenta latino-gallica, cum accentibus, Paris, Ch. Etienne, 1569, p. 3 © Médiathèque Louis Aragon, Le Mans (Photo : NW)


Des meilleurs usuels scolaires circulent en Europe. Celui-ci est une des nombreuses rééditions du célèbre dictionnaire latin-français à l’usage pédagogique publié d’abord par Robert Estienne. Il a été utilisé dans le gymnase de Chelm en Pologne (1692-1816). Il est relié avec son pendant français-latin, intitulé Les mots francois selon lordre des lettres.
Dictionariolum puerorum, Paris, R. Estienne, 1560 © Bibliothèque universitaire de Poznań (Photo : Anna Loba)


Le florilège de sentences latines puisées dans les comédies de Térence, poète comique latin du IIe s. avant J.-C., est proposé aux élèves avec les traductions en plusieurs langues européennes, notamment en allemand.
Latine dicendi formulae ad informandem puerilem linguam, ex terentio collectae, per Paulum perdicem, Francfort-sur-l’Oder, J. Eichorn, 1545 © Bibliothèque universitaire de Poznań (Photo : Anna Loba)


Les Distiches moraux de Caton furent une des sources principales de sentences latines à apprendre par cœur. Ce recueil de maximes brèves fut employé dans l’enseignement élémentaire du latin depuis le Moyen Âge, à travers le XVIe siècle sous l’influence d’Érasme, jusqu’au XIXe siècle. Cet exemplaire a été utilisé en Pologne. Il porte les annotations en polonais de la main de son propriéraire appelé Matheus.
Catonis Disticha Moralia, cum scholiis auctis Erasmi Roterodami, Cologne, H. Fuchs, 1523, f. Aiiij r° © Bibliothèque universitaire de Poznań (Photo : Karolina Borowa)


Principes du latin

Quand les enfants atteignent l’âge de neuf-dix ans, le maître choisit parmi eux ceux qui apprendront le latin. Il sélectionne les enfants les plus diligents qui ont une bonne mémoire et un esprit vif et dont les parents ont suffisamment de moyens pour qu’ils puissent continuer leurs études. L’apprentissage du latin est long, difficile et cher. À part payer l’écolage, il faut acheter de nouveaux livres, au moins un manuel de grammaire et un dictionnaire.
Les écoliers latins commencent par apprendre par cœur les déclinaisons. Ils notent dans leurs cahiers chaque jour de nouveaux noms latins avec les terminaisons des cas et doivent les décliner toute la journée. Le samedi, ils répètent tout ce qu’ils ont appris durant la semaine. Ils apprennent ensuite des éléments de grammaire, les différentes parties du discours, les temps.
Dès qu’ils connaissent les règles de déclinaison et de conjugaison, ils peuvent traduire en latin (exercice de « thème ») des phrases simples comme « Dieu est bon, car il aime les hommes » ou « La Vierge est sainte ». Ils traduisent aussi les fragments du catéchisme. Ils deviennent alors « composants » et occupent les places les plus honorables dans la salle d’école.


Le manuel de grammaire latine écrit au IVe siècle par Aelius Donatus est utilisé à l’école tout au long du Moyen Âge. Bien qu’il soit jugé inefficace par les maîtres et rebutant par les élèves, il continue à être utilisé à la Renaissance dans les petites écoles. Les règles de grammaire et les définitions sont à réciter telles quelles de mémoire.
Aelii Donati Methodus, Lyon, S. Gryphe, 1540, p. 6 © Médiathèque Louis Aragon, Le Mans (Photo : NW).
Ce livre a été numérisé dans le cadre du projet "Bibliothèques humanistes ligériennes" - Equipex Biblissima (BVH)


Le manuel d’un jésuite Jean Depautière, publié en 1537, qui présente les rudiments de la langue latine, devait remplacer l’ancien manuel écrit par Donat. Même si l’objectif de cette nouvelle méthode était de faciliter l’apprentissage de la langue, la façon de présenter les règles latines ne diffère pas beaucoup des « donats ». Les deux manuels continuent à être utilisés au XVIe siècle, celui de Donat dans les petites écoles, et celui de Depautière dans les collèges.
Jean Despautère, Joh. Despauterii Ninivit. commentarii grammatici, id est : rudimenta, prima pars : syntaxis, ars versificatoria, de accentibus de carminum generibus, de figuris, ars epistolica, orthographia, Paris. R. Estienne, 1537, p. 3 © Médiathèque Louis Aragon, Le Mans (Photo : NW)


Finalement, les anciennes et les nouvelles méthodes coexistent dans les écoles. Dans les nouveaux manuels, l’effort est fait pour rendre la matière à la portée de l’enfant et faciliter la mémorisation. Ce manuel de grammaire dialogué propose un jeu de questions et réponses entre un maître et son disciple.
Rudimenta latino-gallica, cum accentibus, Paris, Ch. Etienne, 1569, p. 3 © Médiathèque Louis Aragon, Le Mans (Photo : NW)


Des meilleurs usuels scolaires circulent en Europe. Celui-ci est une des nombreuses rééditions du célèbre dictionnaire latin-français à l’usage pédagogique publié d’abord par Robert Estienne. Il a été utilisé dans le gymnase de Chelm en Pologne (1692-1816). Il est relié avec son pendant français-latin, intitulé Les mots francois selon lordre des lettres.
Dictionariolum puerorum, Paris, R. Estienne, 1560 © Bibliothèque universitaire de Poznań (Photo : Anna Loba)


Le florilège de sentences latines puisées dans les comédies de Térence, poète comique latin du IIe s. avant J.-C., est proposé aux élèves avec les traductions en plusieurs langues européennes, notamment en allemand.
Latine dicendi formulae ad informandem puerilem linguam, ex terentio collectae, per Paulum perdicem, Francfort-sur-l’Oder, J. Eichorn, 1545 © Bibliothèque universitaire de Poznań (Photo : Anna Loba)


Les Distiches moraux de Caton furent une des sources principales de sentences latines à apprendre par cœur. Ce recueil de maximes brèves fut employé dans l’enseignement élémentaire du latin depuis le Moyen Âge, à travers le XVIe siècle sous l’influence d’Érasme, jusqu’au XIXe siècle. Cet exemplaire a été utilisé en Pologne. Il porte les annotations en polonais de la main de son propriéraire appelé Matheus.
Catonis Disticha Moralia, cum scholiis auctis Erasmi Roterodami, Cologne, H. Fuchs, 1523, f. Aiiij r° © Bibliothèque universitaire de Poznań (Photo : Karolina Borowa)
