Chapitre III
L’ENFANT, UN ÊTRE À FORMER
NOUVEAUX LIEUX, NOUVELLES INSTITUTIONS
DES RÉGENTS ET D’ANCIENS ÉLÈVES TÉMOIGNENT
BIBLIOTHÈQUE SONORE
Nicolas Denisot, le merveilleux destin d’un bon élève manceau
Né au cœur du Mans en 1515, Nicolas Denisot est issu d’une famille noble. Ayant grandi dans un milieu où l’on exerce principalement la jurisprudence (son père et son grand frère sont avocats), Nicolas est tôt pénétré des principes liés à la loi et à l’ordre social. Après avoir appris les rudiments auprès des moines, il devient l’élève de François Briand, maître des Écoles de Saint-Benoît au Mans, école de grammaire fréquentée par les enfants de haute naissance. Dans ces murs, le jeune manceau côtoie des camarades qu’il devait retrouver plus tard à la fameuse Pléiade, à savoir Jacques Peletier et Jacques Tahureau. À ses débuts, Nicolas n’est pas précisément porté vers les belles-lettres, bien davantage curieux de sciences et de mathématiques et aussi épris de dessin et de peinture. Il apprend la calligraphie, le dessin et l’art du portrait chez le grand maître Simon Hayeneusve. Les premiers vers latins du jeune poète de province bravache suscitent d’abord des railleries. Il continuera désormais à publier sous le pseudonyme, le comte d’Alsinois ou bien Théodose Valentinian.
Quelques années plus tard, son départ précipité vers l’Angleterre reste auréolé de mystère. Certains disent qu’il fut aimé d’une dame de haut rang à la Cour de France avec qui il partagea jouissances de cœur et charmes de l’esprit. Pour se protéger des jalousies et convoitises, la prudence lui aurait commandé de s’exiler vers les rivages anglais pour avoir la vie sauve. D’autres récits évoquent ses activités secrètes confiées par le roi Henri II qui souhaitait voir Nicolas user de son talent pour dresser des cartes de la perfide Albion. Toujours est-il qu’une fois sur place, Denisot jouit d’un grand prestige intellectuel auprès des familles aristocratiques, au point qu’il est employé en 1548 en tant que précepteur des filles d’Edward Seymour, le beau-frère du roi Henri VIII et Lord Protecteur d’Angleterre chargé de la régence durant la minorité de son neveu Édouard VI. Sous sa houlette, les trois sœurs Seymour, Anne, Margaret et Jane, deviennent des esprits délicats et érudits. L’habile précepteur leur enseigne le latin, le grec et la versification et lorsqu’il revient en France, il s’en trouve précédé d’une grande considération.
Nicolas Denisot, le merveilleux destin d’un bon élève manceau
Né au cœur du Mans en 1515, Nicolas Denisot est issu d’une famille noble. Ayant grandi dans un milieu où l’on exerce principalement la jurisprudence (son père et son grand frère sont avocats), Nicolas est tôt pénétré des principes liés à la loi et à l’ordre social. Après avoir appris les rudiments auprès des moines, il devient l’élève de François Briand, maître des Écoles de Saint-Benoît au Mans, école de grammaire fréquentée par les enfants de haute naissance. Dans ces murs, le jeune manceau côtoie des camarades qu’il devait retrouver plus tard à la fameuse Pléiade, à savoir Jacques Peletier et Jacques Tahureau. À ses débuts, Nicolas n’est pas précisément porté vers les belles-lettres, bien davantage curieux de sciences et de mathématiques et aussi épris de dessin et de peinture. Il apprend la calligraphie, le dessin et l’art du portrait chez le grand maître Simon Hayeneusve. Les premiers vers latins du jeune poète de province bravache suscitent d’abord des railleries. Il continuera désormais à publier sous le pseudonyme, le comte d’Alsinois ou bien Théodose Valentinian.
Quelques années plus tard, son départ précipité vers l’Angleterre reste auréolé de mystère. Certains disent qu’il fut aimé d’une dame de haut rang à la Cour de France avec qui il partagea jouissances de cœur et charmes de l’esprit. Pour se protéger des jalousies et convoitises, la prudence lui aurait commandé de s’exiler vers les rivages anglais pour avoir la vie sauve. D’autres récits évoquent ses activités secrètes confiées par le roi Henri II qui souhaitait voir Nicolas user de son talent pour dresser des cartes de la perfide Albion. Toujours est-il qu’une fois sur place, Denisot jouit d’un grand prestige intellectuel auprès des familles aristocratiques, au point qu’il est employé en 1548 en tant que précepteur des filles d’Edward Seymour, le beau-frère du roi Henri VIII et Lord Protecteur d’Angleterre chargé de la régence durant la minorité de son neveu Édouard VI. Sous sa houlette, les trois sœurs Seymour, Anne, Margaret et Jane, deviennent des esprits délicats et érudits. L’habile précepteur leur enseigne le latin, le grec et la versification et lorsqu’il revient en France, il s’en trouve précédé d’une grande considération.
Nicolas Denisot, le merveilleux destin d’un bon élève manceau
Né au cœur du Mans en 1515, Nicolas Denisot est issu d’une famille noble. Ayant grandi dans un milieu où l’on exerce principalement la jurisprudence (son père et son grand frère sont avocats), Nicolas est tôt pénétré des principes liés à la loi et à l’ordre social. Après avoir appris les rudiments auprès des moines, il devient l’élève de François Briand, maître des Écoles de Saint-Benoît au Mans, école de grammaire fréquentée par les enfants de haute naissance. Dans ces murs, le jeune manceau côtoie des camarades qu’il devait retrouver plus tard à la fameuse Pléiade, à savoir Jacques Peletier et Jacques Tahureau. À ses débuts, Nicolas n’est pas précisément porté vers les belles-lettres, bien davantage curieux de sciences et de mathématiques et aussi épris de dessin et de peinture. Il apprend la calligraphie, le dessin et l’art du portrait chez le grand maître Simon Hayeneusve. Les premiers vers latins du jeune poète de province bravache suscitent d’abord des railleries. Il continuera désormais à publier sous le pseudonyme, le comte d’Alsinois ou bien Théodose Valentinian.
Quelques années plus tard, son départ précipité vers l’Angleterre reste auréolé de mystère. Certains disent qu’il fut aimé d’une dame de haut rang à la Cour de France avec qui il partagea jouissances de cœur et charmes de l’esprit. Pour se protéger des jalousies et convoitises, la prudence lui aurait commandé de s’exiler vers les rivages anglais pour avoir la vie sauve. D’autres récits évoquent ses activités secrètes confiées par le roi Henri II qui souhaitait voir Nicolas user de son talent pour dresser des cartes de la perfide Albion. Toujours est-il qu’une fois sur place, Denisot jouit d’un grand prestige intellectuel auprès des familles aristocratiques, au point qu’il est employé en 1548 en tant que précepteur des filles d’Edward Seymour, le beau-frère du roi Henri VIII et Lord Protecteur d’Angleterre chargé de la régence durant la minorité de son neveu Édouard VI. Sous sa houlette, les trois sœurs Seymour, Anne, Margaret et Jane, deviennent des esprits délicats et érudits. L’habile précepteur leur enseigne le latin, le grec et la versification et lorsqu’il revient en France, il s’en trouve précédé d’une grande considération.
Nicolas Denisot, le merveilleux destin d’un bon élève manceau
Né au cœur du Mans en 1515, Nicolas Denisot est issu d’une famille noble. Ayant grandi dans un milieu où l’on exerce principalement la jurisprudence (son père et son grand frère sont avocats), Nicolas est tôt pénétré des principes liés à la loi et à l’ordre social. Après avoir appris les rudiments auprès des moines, il devient l’élève de François Briand, maître des Écoles de Saint-Benoît au Mans, école de grammaire fréquentée par les enfants de haute naissance. Dans ces murs, le jeune manceau côtoie des camarades qu’il devait retrouver plus tard à la fameuse Pléiade, à savoir Jacques Peletier et Jacques Tahureau. À ses débuts, Nicolas n’est pas précisément porté vers les belles-lettres, bien davantage curieux de sciences et de mathématiques et aussi épris de dessin et de peinture. Il apprend la calligraphie, le dessin et l’art du portrait chez le grand maître Simon Hayeneusve. Les premiers vers latins du jeune poète de province bravache suscitent d’abord des railleries. Il continuera désormais à publier sous le pseudonyme, le comte d’Alsinois ou bien Théodose Valentinian.
Quelques années plus tard, son départ précipité vers l’Angleterre reste auréolé de mystère. Certains disent qu’il fut aimé d’une dame de haut rang à la Cour de France avec qui il partagea jouissances de cœur et charmes de l’esprit. Pour se protéger des jalousies et convoitises, la prudence lui aurait commandé de s’exiler vers les rivages anglais pour avoir la vie sauve. D’autres récits évoquent ses activités secrètes confiées par le roi Henri II qui souhaitait voir Nicolas user de son talent pour dresser des cartes de la perfide Albion. Toujours est-il qu’une fois sur place, Denisot jouit d’un grand prestige intellectuel auprès des familles aristocratiques, au point qu’il est employé en 1548 en tant que précepteur des filles d’Edward Seymour, le beau-frère du roi Henri VIII et Lord Protecteur d’Angleterre chargé de la régence durant la minorité de son neveu Édouard VI. Sous sa houlette, les trois sœurs Seymour, Anne, Margaret et Jane, deviennent des esprits délicats et érudits. L’habile précepteur leur enseigne le latin, le grec et la versification et lorsqu’il revient en France, il s’en trouve précédé d’une grande considération.