Chapitre III
L’ENFANT, UN ÊTRE À FORMER
NOUVEAUX LIEUX, NOUVELLES INSTITUTIONS
DES RÉGENTS ET D’ANCIENS ÉLÈVES TÉMOIGNENT
BIBLIOTHÈQUE SONORE
Ambroise à la main habile
Au XVIe siècle, un enfant qui a bâclé l’apprentissage des rudiments du latin n’avait pas un avenir très prometteur devant lui... Les livres de médecine ou de droit étaient rédigés en latin et on ne pouvait pas en tirer grand profit sans maîtriser cette langue ! Pourtant, Ambroise Paré, né à Bourg-Hersent près de Laval vers 1510 dans une famille peu fortunée qui ne pouvait pas lui offrir une éducation soignée, deviendra un jour le Premier Chirurgien du Roi.
Après avoir appris à lire, écrire et compter, il est mis en pension chez un chapelain nommé Orsoy, censé lui apprendre le latin. Ambroise ne manque pas d’intelligence, mais la somme modique payée par ses parents ne suffit pas pour que le chapelain prenne ses devoirs de précepteur au sérieux. Pour se dédommager, il emploie le petit garçon à des tâches domestiques plutôt qu’à des exercices de langues savantes.
C’est pourtant durant cette période peu fructueuse qu’Ambroise découvre sa vocation. Adolescent curieux et adroit, il assiste à une opération. Il est fasciné par l’anatomie du corps humain et les instruments chirurgicaux. Vers l’âge de seize ans, il est envoyé en apprentissage chez un certain maître Vialot pour devenir un barbier chirurgien.
L’ignorance du latin, devenue dans sa vie adulte un objet de mépris, le poussa à découvrir les choses par lui-même, en effectuant des expérimentations à l’Hôtel-Dieu et sur les champs de batailles. Il dira un jour que c’est en travaillant avec ses mains qu’il a percé les secrets de la chirurgie, non en feuilletant les livres.
Ambroise à la main habile
Au XVIe siècle, un enfant qui a bâclé l’apprentissage des rudiments du latin n’avait pas un avenir très prometteur devant lui... Les livres de médecine ou de droit étaient rédigés en latin et on ne pouvait pas en tirer grand profit sans maîtriser cette langue ! Pourtant, Ambroise Paré, né à Bourg-Hersent près de Laval vers 1510 dans une famille peu fortunée qui ne pouvait pas lui offrir une éducation soignée, deviendra un jour le Premier Chirurgien du Roi.
Après avoir appris à lire, écrire et compter, il est mis en pension chez un chapelain nommé Orsoy, censé lui apprendre le latin. Ambroise ne manque pas d’intelligence, mais la somme modique payée par ses parents ne suffit pas pour que le chapelain prenne ses devoirs de précepteur au sérieux. Pour se dédommager, il emploie le petit garçon à des tâches domestiques plutôt qu’à des exercices de langues savantes.
C’est pourtant durant cette période peu fructueuse qu’Ambroise découvre sa vocation. Adolescent curieux et adroit, il assiste à une opération. Il est fasciné par l’anatomie du corps humain et les instruments chirurgicaux. Vers l’âge de seize ans, il est envoyé en apprentissage chez un certain maître Vialot pour devenir un barbier chirurgien.
L’ignorance du latin, devenue dans sa vie adulte un objet de mépris, le poussa à découvrir les choses par lui-même, en effectuant des expérimentations à l’Hôtel-Dieu et sur les champs de batailles. Il dira un jour que c’est en travaillant avec ses mains qu’il a percé les secrets de la chirurgie, non en feuilletant les livres.
Ambroise à la main habile
Au XVIe siècle, un enfant qui a bâclé l’apprentissage des rudiments du latin n’avait pas un avenir très prometteur devant lui... Les livres de médecine ou de droit étaient rédigés en latin et on ne pouvait pas en tirer grand profit sans maîtriser cette langue ! Pourtant, Ambroise Paré, né à Bourg-Hersent près de Laval vers 1510 dans une famille peu fortunée qui ne pouvait pas lui offrir une éducation soignée, deviendra un jour le Premier Chirurgien du Roi.
Après avoir appris à lire, écrire et compter, il est mis en pension chez un chapelain nommé Orsoy, censé lui apprendre le latin. Ambroise ne manque pas d’intelligence, mais la somme modique payée par ses parents ne suffit pas pour que le chapelain prenne ses devoirs de précepteur au sérieux. Pour se dédommager, il emploie le petit garçon à des tâches domestiques plutôt qu’à des exercices de langues savantes.
C’est pourtant durant cette période peu fructueuse qu’Ambroise découvre sa vocation. Adolescent curieux et adroit, il assiste à une opération. Il est fasciné par l’anatomie du corps humain et les instruments chirurgicaux. Vers l’âge de seize ans, il est envoyé en apprentissage chez un certain maître Vialot pour devenir un barbier chirurgien.
L’ignorance du latin, devenue dans sa vie adulte un objet de mépris, le poussa à découvrir les choses par lui-même, en effectuant des expérimentations à l’Hôtel-Dieu et sur les champs de batailles. Il dira un jour que c’est en travaillant avec ses mains qu’il a percé les secrets de la chirurgie, non en feuilletant les livres.
Ambroise à la main habile
Au XVIe siècle, un enfant qui a bâclé l’apprentissage des rudiments du latin n’avait pas un avenir très prometteur devant lui... Les livres de médecine ou de droit étaient rédigés en latin et on ne pouvait pas en tirer grand profit sans maîtriser cette langue ! Pourtant, Ambroise Paré, né à Bourg-Hersent près de Laval vers 1510 dans une famille peu fortunée qui ne pouvait pas lui offrir une éducation soignée, deviendra un jour le Premier Chirurgien du Roi.
Après avoir appris à lire, écrire et compter, il est mis en pension chez un chapelain nommé Orsoy, censé lui apprendre le latin. Ambroise ne manque pas d’intelligence, mais la somme modique payée par ses parents ne suffit pas pour que le chapelain prenne ses devoirs de précepteur au sérieux. Pour se dédommager, il emploie le petit garçon à des tâches domestiques plutôt qu’à des exercices de langues savantes.
C’est pourtant durant cette période peu fructueuse qu’Ambroise découvre sa vocation. Adolescent curieux et adroit, il assiste à une opération. Il est fasciné par l’anatomie du corps humain et les instruments chirurgicaux. Vers l’âge de seize ans, il est envoyé en apprentissage chez un certain maître Vialot pour devenir un barbier chirurgien.
L’ignorance du latin, devenue dans sa vie adulte un objet de mépris, le poussa à découvrir les choses par lui-même, en effectuant des expérimentations à l’Hôtel-Dieu et sur les champs de batailles. Il dira un jour que c’est en travaillant avec ses mains qu’il a percé les secrets de la chirurgie, non en feuilletant les livres.