Chapitre II
L’ENFANT, UN ÊTRE À FORMER
NOUVEAUX LIEUX, NOUVELLES INSTITUTIONS
DES RÉGENTS ET D’ANCIENS ÉLÈVES TÉMOIGNENT
BIBLIOTHÈQUE SONORE
Le collège de l’Oratoire du Mans
Les Oratoriens s’installent au Mans en 1624 où ils dirigent un collège d’humanités jusqu’en 1792. C’est en 1611 qu’une congrégation enseignante de l’Oratoire a été fondée en France par Pierre de Bérulle. Ses membres ne font pas de vœux et sont connus pour leur ouverture de l’esprit.
La rivalité avec les Jésuites en matière d’enseignement impose aux Oratoriens des choix modernes. Ils introduisent une idée impensable jusqu’alors : enseigner les humanités en français. Chez les Jésuites, le latin était la seule langue autorisée et parlée. Chez les Oratoriens, c’est le français qui devient une langue d’instruction. Les Pères Oratoriens font du latin et du grec de simples matières.
Dans les collèges oratoriens, la formation religieuse et morale est considérée comme complémentaire aux humanités. Comme le dit le Père Condren, deuxième supérieur général de la société de l’Oratoire : Si on a Cicéron à la bouche, qu’on ait Jésus-Christ dans le cœur. Les élèves lisent la Bible, récitent les prières, assistent aux messes et font des séances de catéchisme, tout en étudiant les auteurs classiques, la rhétorique française, l’histoire ainsi que la géographie et les sciences.
Au sein du collège de l’Oratoire du Mans, doté d’une imposante bibliothèque, vivent de façon ascétique les professeurs et les pensionnaires, mais la plupart des élèves sont des externes, ce qui ne facilite pas l’encadrement des adolescents. Les épreuves de fin d’année sont accompagnées d’une remise des prix et d’une représentation théâtrale en français ou en latin. C’est un moment solennel pour toute la ville.
Le collège de l’Oratoire du Mans
Les Oratoriens s’installent au Mans en 1624 où ils dirigent un collège d’humanités jusqu’en 1792. C’est en 1611 qu’une congrégation enseignante de l’Oratoire a été fondée en France par Pierre de Bérulle. Ses membres ne font pas de vœux et sont connus pour leur ouverture de l’esprit.
La rivalité avec les Jésuites en matière d’enseignement impose aux Oratoriens des choix modernes. Ils introduisent une idée impensable jusqu’alors : enseigner les humanités en français. Chez les Jésuites, le latin était la seule langue autorisée et parlée. Chez les Oratoriens, c’est le français qui devient une langue d’instruction. Les Pères Oratoriens font du latin et du grec de simples matières.
Dans les collèges oratoriens, la formation religieuse et morale est considérée comme complémentaire aux humanités. Comme le dit le Père Condren, deuxième supérieur général de la société de l’Oratoire : Si on a Cicéron à la bouche, qu’on ait Jésus-Christ dans le cœur. Les élèves lisent la Bible, récitent les prières, assistent aux messes et font des séances de catéchisme, tout en étudiant les auteurs classiques, la rhétorique française, l’histoire ainsi que la géographie et les sciences.
Au sein du collège de l’Oratoire du Mans, doté d’une imposante bibliothèque, vivent de façon ascétique les professeurs et les pensionnaires, mais la plupart des élèves sont des externes, ce qui ne facilite pas l’encadrement des adolescents. Les épreuves de fin d’année sont accompagnées d’une remise des prix et d’une représentation théâtrale en français ou en latin. C’est un moment solennel pour toute la ville.
Le collège de l’Oratoire du Mans
Les Oratoriens s’installent au Mans en 1624 où ils dirigent un collège d’humanités jusqu’en 1792. C’est en 1611 qu’une congrégation enseignante de l’Oratoire a été fondée en France par Pierre de Bérulle. Ses membres ne font pas de vœux et sont connus pour leur ouverture de l’esprit.
La rivalité avec les Jésuites en matière d’enseignement impose aux Oratoriens des choix modernes. Ils introduisent une idée impensable jusqu’alors : enseigner les humanités en français. Chez les Jésuites, le latin était la seule langue autorisée et parlée. Chez les Oratoriens, c’est le français qui devient une langue d’instruction. Les Pères Oratoriens font du latin et du grec de simples matières.
Dans les collèges oratoriens, la formation religieuse et morale est considérée comme complémentaire aux humanités. Comme le dit le Père Condren, deuxième supérieur général de la société de l’Oratoire : Si on a Cicéron à la bouche, qu’on ait Jésus-Christ dans le cœur. Les élèves lisent la Bible, récitent les prières, assistent aux messes et font des séances de catéchisme, tout en étudiant les auteurs classiques, la rhétorique française, l’histoire ainsi que la géographie et les sciences.
Au sein du collège de l’Oratoire du Mans, doté d’une imposante bibliothèque, vivent de façon ascétique les professeurs et les pensionnaires, mais la plupart des élèves sont des externes, ce qui ne facilite pas l’encadrement des adolescents. Les épreuves de fin d’année sont accompagnées d’une remise des prix et d’une représentation théâtrale en français ou en latin. C’est un moment solennel pour toute la ville.
Le collège de l’Oratoire du Mans
Les Oratoriens s’installent au Mans en 1624 où ils dirigent un collège d’humanités jusqu’en 1792. C’est en 1611 qu’une congrégation enseignante de l’Oratoire a été fondée en France par Pierre de Bérulle. Ses membres ne font pas de vœux et sont connus pour leur ouverture de l’esprit.
La rivalité avec les Jésuites en matière d’enseignement impose aux Oratoriens des choix modernes. Ils introduisent une idée impensable jusqu’alors : enseigner les humanités en français. Chez les Jésuites, le latin était la seule langue autorisée et parlée. Chez les Oratoriens, c’est le français qui devient une langue d’instruction. Les Pères Oratoriens font du latin et du grec de simples matières.
Dans les collèges oratoriens, la formation religieuse et morale est considérée comme complémentaire aux humanités. Comme le dit le Père Condren, deuxième supérieur général de la société de l’Oratoire : Si on a Cicéron à la bouche, qu’on ait Jésus-Christ dans le cœur. Les élèves lisent la Bible, récitent les prières, assistent aux messes et font des séances de catéchisme, tout en étudiant les auteurs classiques, la rhétorique française, l’histoire ainsi que la géographie et les sciences.
Au sein du collège de l’Oratoire du Mans, doté d’une imposante bibliothèque, vivent de façon ascétique les professeurs et les pensionnaires, mais la plupart des élèves sont des externes, ce qui ne facilite pas l’encadrement des adolescents. Les épreuves de fin d’année sont accompagnées d’une remise des prix et d’une représentation théâtrale en français ou en latin. C’est un moment solennel pour toute la ville.