La formation : l’internationalisation en action
L’ENFANT, UN ÊTRE À FORMER
NOUVEAUX LIEUX, NOUVELLES INSTITUTIONS
DES RÉGENTS ET D’ANCIENS ÉLÈVES TÉMOIGNENT
BIBLIOTHÈQUE SONORE
Les actions de formation du CIE jouent habilement sur les lieux et les échelles d’intervention, l’internationalisation étant une priorité.
En France
Une partie des cours proposés par le CIE a lieu à Paris ou dans des grandes villes de province. Ces cours sont dits internationaux car ils sont préparés avec la collaboration de diverses institutions internationales et parce qu’ils accueillent de nombreux auditeurs ou stagiaires étrangers. C’est le CIE qui entre en relation avec les gouvernements étrangers en leur demandant de proposer des candidatures. Les cours s’étalent sur trois à quatre mois. Le CIE s’efforce donc de prendre en
charge la trentaine de participants avec un soin particulier pour les aider à s’accoutumer aux conditions de vie en France. Aux cours classiques s’ajoutent des conférences, souvent illustrées de films ou de supports audiovisuels, de voyages d’études, de visites d’établissements de santé.
À l’étranger
Une bonne partie de l’œuvre de formation du CIE se déploie à l’étranger. Les pays qui en font la demande peuvent bénéficier de « sessions de perfectionnement nationales ». Le CIE envoie des équipes pédagogiques sur place qui organisent la formation en collaboration avec des relais locaux et avec le soutien des gouvernements. En nombre de participants, c’est l’Afrique qui, après l’Europe, bien présente, bénéficie le plus de ces enseignements, lien France-Afrique oblige.
Le rayonnement international des enseignements du CIE ne passe pas uniquement par du présentiel, avec des auditeurs physiquement présents. Le CIE propose aussi des formules à distance, par correspondance. Les auditeurs reçoivent un support de cours et des devoirs à renvoyer. En cas de succès, ils reçoivent une attestation.
Impacts et retombées
La question des conséquences sur la longue durée de cette action volontariste de formation est difficile à aborder. Le CIE effectue des enquêtes de satisfaction et des évaluations. Il s’efforce de faire vivre la relation avec ses anciens élèves. Quantitativement, les résultats sont incontestables : 15 207 personnes accueillies au cours de 302 modules de formation entre 1950 et 1970. Sur le plan qualitatif, le CIE peut revendiquer la diffusion internationalement accrue de toutes les formes
de sensibilité aux problèmes de l’enfance.
« L’enfance, ça nous regarde » : regards sur le Centre international de l’enfance (1949-1996)
- « L’enfance, ça nous regarde » : regards sur le Centre international de l’enfance (1949-1996)
- La création du Centre international de l’enfance
- Les grands acteurs
- Le château de Longchamp
- Fonctionnement
- La formation : un état d’esprit
- La formation : l’internationalisation en action
- Une recherche appliquée
- Une recherche diversifiée
- Réseaux et partenariats
- Documentation, édition, diffusion : un centre de ressources
- Crises et restructurations
Les actions de formation du CIE jouent habilement sur les lieux et les échelles d’intervention, l’internationalisation étant une priorité.
En France
Une partie des cours proposés par le CIE a lieu à Paris ou dans des grandes villes de province. Ces cours sont dits internationaux car ils sont préparés avec la collaboration de diverses institutions internationales et parce qu’ils accueillent de nombreux auditeurs ou stagiaires étrangers. C’est le CIE qui entre en relation avec les gouvernements étrangers en leur demandant de proposer des candidatures. Les cours s’étalent sur trois à quatre mois. Le CIE s’efforce donc de prendre en
charge la trentaine de participants avec un soin particulier pour les aider à s’accoutumer aux conditions de vie en France. Aux cours classiques s’ajoutent des conférences, souvent illustrées de films ou de supports audiovisuels, de voyages d’études, de visites d’établissements de santé.
À l’étranger
Une bonne partie de l’œuvre de formation du CIE se déploie à l’étranger. Les pays qui en font la demande peuvent bénéficier de « sessions de perfectionnement nationales ». Le CIE envoie des équipes pédagogiques sur place qui organisent la formation en collaboration avec des relais locaux et avec le soutien des gouvernements. En nombre de participants, c’est l’Afrique qui, après l’Europe, bien présente, bénéficie le plus de ces enseignements, lien France-Afrique oblige.
Le rayonnement international des enseignements du CIE ne passe pas uniquement par du présentiel, avec des auditeurs physiquement présents. Le CIE propose aussi des formules à distance, par correspondance. Les auditeurs reçoivent un support de cours et des devoirs à renvoyer. En cas de succès, ils reçoivent une attestation.
Impacts et retombées
La question des conséquences sur la longue durée de cette action volontariste de formation est difficile à aborder. Le CIE effectue des enquêtes de satisfaction et des évaluations. Il s’efforce de faire vivre la relation avec ses anciens élèves. Quantitativement, les résultats sont incontestables : 15 207 personnes accueillies au cours de 302 modules de formation entre 1950 et 1970. Sur le plan qualitatif, le CIE peut revendiquer la diffusion internationalement accrue de toutes les formes
de sensibilité aux problèmes de l’enfance.
Les actions de formation du CIE jouent habilement sur les lieux et les échelles d’intervention, l’internationalisation étant une priorité.
En France
Une partie des cours proposés par le CIE a lieu à Paris ou dans des grandes villes de province. Ces cours sont dits internationaux car ils sont préparés avec la collaboration de diverses institutions internationales et parce qu’ils accueillent de nombreux auditeurs ou stagiaires étrangers. C’est le CIE qui entre en relation avec les gouvernements étrangers en leur demandant de proposer des candidatures. Les cours s’étalent sur trois à quatre mois. Le CIE s’efforce donc de prendre en
charge la trentaine de participants avec un soin particulier pour les aider à s’accoutumer aux conditions de vie en France. Aux cours classiques s’ajoutent des conférences, souvent illustrées de films ou de supports audiovisuels, de voyages d’études, de visites d’établissements de santé.
À l’étranger
Une bonne partie de l’œuvre de formation du CIE se déploie à l’étranger. Les pays qui en font la demande peuvent bénéficier de « sessions de perfectionnement nationales ». Le CIE envoie des équipes pédagogiques sur place qui organisent la formation en collaboration avec des relais locaux et avec le soutien des gouvernements. En nombre de participants, c’est l’Afrique qui, après l’Europe, bien présente, bénéficie le plus de ces enseignements, lien France-Afrique oblige.
Le rayonnement international des enseignements du CIE ne passe pas uniquement par du présentiel, avec des auditeurs physiquement présents. Le CIE propose aussi des formules à distance, par correspondance. Les auditeurs reçoivent un support de cours et des devoirs à renvoyer. En cas de succès, ils reçoivent une attestation.
Impacts et retombées
La question des conséquences sur la longue durée de cette action volontariste de formation est difficile à aborder. Le CIE effectue des enquêtes de satisfaction et des évaluations. Il s’efforce de faire vivre la relation avec ses anciens élèves. Quantitativement, les résultats sont incontestables : 15 207 personnes accueillies au cours de 302 modules de formation entre 1950 et 1970. Sur le plan qualitatif, le CIE peut revendiquer la diffusion internationalement accrue de toutes les formes
de sensibilité aux problèmes de l’enfance.
Les actions de formation du CIE jouent habilement sur les lieux et les échelles d’intervention, l’internationalisation étant une priorité.
En France
Une partie des cours proposés par le CIE a lieu à Paris ou dans des grandes villes de province. Ces cours sont dits internationaux car ils sont préparés avec la collaboration de diverses institutions internationales et parce qu’ils accueillent de nombreux auditeurs ou stagiaires étrangers. C’est le CIE qui entre en relation avec les gouvernements étrangers en leur demandant de proposer des candidatures. Les cours s’étalent sur trois à quatre mois. Le CIE s’efforce donc de prendre en
charge la trentaine de participants avec un soin particulier pour les aider à s’accoutumer aux conditions de vie en France. Aux cours classiques s’ajoutent des conférences, souvent illustrées de films ou de supports audiovisuels, de voyages d’études, de visites d’établissements de santé.
À l’étranger
Une bonne partie de l’œuvre de formation du CIE se déploie à l’étranger. Les pays qui en font la demande peuvent bénéficier de « sessions de perfectionnement nationales ». Le CIE envoie des équipes pédagogiques sur place qui organisent la formation en collaboration avec des relais locaux et avec le soutien des gouvernements. En nombre de participants, c’est l’Afrique qui, après l’Europe, bien présente, bénéficie le plus de ces enseignements, lien France-Afrique oblige.
Le rayonnement international des enseignements du CIE ne passe pas uniquement par du présentiel, avec des auditeurs physiquement présents. Le CIE propose aussi des formules à distance, par correspondance. Les auditeurs reçoivent un support de cours et des devoirs à renvoyer. En cas de succès, ils reçoivent une attestation.
Impacts et retombées
La question des conséquences sur la longue durée de cette action volontariste de formation est difficile à aborder. Le CIE effectue des enquêtes de satisfaction et des évaluations. Il s’efforce de faire vivre la relation avec ses anciens élèves. Quantitativement, les résultats sont incontestables : 15 207 personnes accueillies au cours de 302 modules de formation entre 1950 et 1970. Sur le plan qualitatif, le CIE peut revendiquer la diffusion internationalement accrue de toutes les formes
de sensibilité aux problèmes de l’enfance.