Une recherche diversifiée
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Croissance et développement de l’enfant normal
Pour préciser la valeur de la croissance et étudier les variations du développement infantile, le CIE coordonne à partir de 1953 une série d’études internationales sur les enfants en Afrique, en Europe et aux États-Unis. Ces recherches sont longitudinales : elles suivent des cohortes d’enfants depuis leur naissance jusqu’à l’âge adulte. Elles sont assumées par des équipes pluridisciplinaires qui regroupent des médecins, des psychologues, des travailleurs sociaux et des statisticiens.
Des réunions de coordination permettent de discuter des méthodes de travail et des résultats. Ces recherches permettent de publier des courbes de croissance et des normes de développement qui font toujours autorité et sont encore utilisées dans les carnets de santé. La recherche se poursuit ensuite sur les enfants de deuxième génération, c’est-à-dire sur les enfants dont l’un des parents a été sujet de l’étude initiale. Toute cette recherche est à l’origine de l’école française d’auxologie, la science de la croissance.
Des centres d’intérêt multiples
En dehors de ces deux axes principaux, le CIE entreprend ou favorise bien d’autres travaux de recherche, de multiples manières : subventions, publications, coordination technique. Les sujets abordés peuvent être choisis en fonction de l’actualité ou des besoins des pays en voie de développement. Citons, parmi tant d’autres : les besoins et les conditions de vie de l’enfant dans les pays en voie de développement, la prévention de certains facteurs de l’inadaptation sociale
de l’enfant et de l’adolescent, les moyens audiovisuels de communication dans les enseignements, les loisirs culturels des enfants dans les régions isolées, les dangers de la télévision pour les enfants, les réactions psychologiques des enfants devant les films récréatifs, la délinquance juvénile en Afrique, l’organisation de camps de vacances pour les jeunes diabétiques, les enfants et les femmes enceintes atteints du SIDA, l’allaitement maternel, etc.
« L’enfance, ça nous regarde » : regards sur le Centre international de l’enfance (1949-1996)
- « L’enfance, ça nous regarde » : regards sur le Centre international de l’enfance (1949-1996)
- La création du Centre international de l’enfance
- Les grands acteurs
- Le château de Longchamp
- Fonctionnement
- La formation : un état d’esprit
- La formation : l’internationalisation en action
- Une recherche appliquée
- Une recherche diversifiée
- Réseaux et partenariats
- Documentation, édition, diffusion : un centre de ressources
- Crises et restructurations
Croissance et développement de l’enfant normal
Pour préciser la valeur de la croissance et étudier les variations du développement infantile, le CIE coordonne à partir de 1953 une série d’études internationales sur les enfants en Afrique, en Europe et aux États-Unis. Ces recherches sont longitudinales : elles suivent des cohortes d’enfants depuis leur naissance jusqu’à l’âge adulte. Elles sont assumées par des équipes pluridisciplinaires qui regroupent des médecins, des psychologues, des travailleurs sociaux et des statisticiens.
Des réunions de coordination permettent de discuter des méthodes de travail et des résultats. Ces recherches permettent de publier des courbes de croissance et des normes de développement qui font toujours autorité et sont encore utilisées dans les carnets de santé. La recherche se poursuit ensuite sur les enfants de deuxième génération, c’est-à-dire sur les enfants dont l’un des parents a été sujet de l’étude initiale. Toute cette recherche est à l’origine de l’école française d’auxologie, la science de la croissance.
Des centres d’intérêt multiples
En dehors de ces deux axes principaux, le CIE entreprend ou favorise bien d’autres travaux de recherche, de multiples manières : subventions, publications, coordination technique. Les sujets abordés peuvent être choisis en fonction de l’actualité ou des besoins des pays en voie de développement. Citons, parmi tant d’autres : les besoins et les conditions de vie de l’enfant dans les pays en voie de développement, la prévention de certains facteurs de l’inadaptation sociale
de l’enfant et de l’adolescent, les moyens audiovisuels de communication dans les enseignements, les loisirs culturels des enfants dans les régions isolées, les dangers de la télévision pour les enfants, les réactions psychologiques des enfants devant les films récréatifs, la délinquance juvénile en Afrique, l’organisation de camps de vacances pour les jeunes diabétiques, les enfants et les femmes enceintes atteints du SIDA, l’allaitement maternel, etc.
Croissance et développement de l’enfant normal
Pour préciser la valeur de la croissance et étudier les variations du développement infantile, le CIE coordonne à partir de 1953 une série d’études internationales sur les enfants en Afrique, en Europe et aux États-Unis. Ces recherches sont longitudinales : elles suivent des cohortes d’enfants depuis leur naissance jusqu’à l’âge adulte. Elles sont assumées par des équipes pluridisciplinaires qui regroupent des médecins, des psychologues, des travailleurs sociaux et des statisticiens.
Des réunions de coordination permettent de discuter des méthodes de travail et des résultats. Ces recherches permettent de publier des courbes de croissance et des normes de développement qui font toujours autorité et sont encore utilisées dans les carnets de santé. La recherche se poursuit ensuite sur les enfants de deuxième génération, c’est-à-dire sur les enfants dont l’un des parents a été sujet de l’étude initiale. Toute cette recherche est à l’origine de l’école française d’auxologie, la science de la croissance.
Des centres d’intérêt multiples
En dehors de ces deux axes principaux, le CIE entreprend ou favorise bien d’autres travaux de recherche, de multiples manières : subventions, publications, coordination technique. Les sujets abordés peuvent être choisis en fonction de l’actualité ou des besoins des pays en voie de développement. Citons, parmi tant d’autres : les besoins et les conditions de vie de l’enfant dans les pays en voie de développement, la prévention de certains facteurs de l’inadaptation sociale
de l’enfant et de l’adolescent, les moyens audiovisuels de communication dans les enseignements, les loisirs culturels des enfants dans les régions isolées, les dangers de la télévision pour les enfants, les réactions psychologiques des enfants devant les films récréatifs, la délinquance juvénile en Afrique, l’organisation de camps de vacances pour les jeunes diabétiques, les enfants et les femmes enceintes atteints du SIDA, l’allaitement maternel, etc.
Croissance et développement de l’enfant normal
Pour préciser la valeur de la croissance et étudier les variations du développement infantile, le CIE coordonne à partir de 1953 une série d’études internationales sur les enfants en Afrique, en Europe et aux États-Unis. Ces recherches sont longitudinales : elles suivent des cohortes d’enfants depuis leur naissance jusqu’à l’âge adulte. Elles sont assumées par des équipes pluridisciplinaires qui regroupent des médecins, des psychologues, des travailleurs sociaux et des statisticiens.
Des réunions de coordination permettent de discuter des méthodes de travail et des résultats. Ces recherches permettent de publier des courbes de croissance et des normes de développement qui font toujours autorité et sont encore utilisées dans les carnets de santé. La recherche se poursuit ensuite sur les enfants de deuxième génération, c’est-à-dire sur les enfants dont l’un des parents a été sujet de l’étude initiale. Toute cette recherche est à l’origine de l’école française d’auxologie, la science de la croissance.
Des centres d’intérêt multiples
En dehors de ces deux axes principaux, le CIE entreprend ou favorise bien d’autres travaux de recherche, de multiples manières : subventions, publications, coordination technique. Les sujets abordés peuvent être choisis en fonction de l’actualité ou des besoins des pays en voie de développement. Citons, parmi tant d’autres : les besoins et les conditions de vie de l’enfant dans les pays en voie de développement, la prévention de certains facteurs de l’inadaptation sociale
de l’enfant et de l’adolescent, les moyens audiovisuels de communication dans les enseignements, les loisirs culturels des enfants dans les régions isolées, les dangers de la télévision pour les enfants, les réactions psychologiques des enfants devant les films récréatifs, la délinquance juvénile en Afrique, l’organisation de camps de vacances pour les jeunes diabétiques, les enfants et les femmes enceintes atteints du SIDA, l’allaitement maternel, etc.