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Les violences sexuelles à l’encontre des enfants sont une réalité régulièrement dénoncée, surtout depuis les années 1980. La lutte contre ces pratiques peut entraîner des contradictions avec des traditions ou des héritages culturels, toujours difficiles à surmonter.
L’exploitation sexuelle des enfants
Par l’article 34 de la Convention internationale des droits de l’enfant, les États s’engagent à protéger l’enfant contre toutes les formes d’exploitations sexuelles. Mais chaque année, 3 millions d’enfants sont victimes d’exploitation sexuelle dans le monde. 10 % des touristes font de cet aspect le premier critère guidant leur choix de destination. Plusieurs facteurs expliquent ce phénomène : la pauvreté des pays en voie de développement, l’augmentation du nombre de voyageurs, la banalisation de l’usage commercial du corps, ou encore l’absence de lois. Les dommages physiques, psychologiques et sociaux sur les enfants sont immenses.
Des héritages culturels ?
L’excision est une intervention qui altère ou lèse intentionnellement les organes génitaux externes de la femme pour des raisons non médicales. Elle est souvent pratiquée sans anesthésie par un personnel non médical avec des instruments rudimentaires, et s’accompagne d’un traumatisme psychologique et physique chez les victimes. Ces pratiques ont pour origine des traditions sociales, religieuses, culturelles ou encore sexuelles. Les mutilations sexuelles féminines sont internationalement considérées comme une violation des droits des jeunes filles. De nombreuses actions, internationales avec l’UNICEF ou nationales comme au Mali, cherchent à sensibiliser les populations contre cette pratique.
Les dangers des médias
Devant la télévision ou d’un simple clic sur Internet, l’enfant n’est jamais à l’abri d’un contenu sexuel ou pornographique. De plus, les pédophiles et prédateurs sexuels utilisent souvent Internet pour entrer en contact avec des mineurs, peu méfiants et manquant d’expérience. Des actions sont menées dans certains pays. Par exemple, l’association Terre des hommes utilise le profil d’une fillette philippine fictive pour traquer les pédophiles sur Internet.
Promenons-nous dans les droits
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- Aux maux des petits, les grands remèdes
- Les droits des enfants dans les conflits armés
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- Avoir une famille, un droit pour tous
Les violences sexuelles à l’encontre des enfants sont une réalité régulièrement dénoncée, surtout depuis les années 1980. La lutte contre ces pratiques peut entraîner des contradictions avec des traditions ou des héritages culturels, toujours difficiles à surmonter.
L’exploitation sexuelle des enfants
Par l’article 34 de la Convention internationale des droits de l’enfant, les États s’engagent à protéger l’enfant contre toutes les formes d’exploitations sexuelles. Mais chaque année, 3 millions d’enfants sont victimes d’exploitation sexuelle dans le monde. 10 % des touristes font de cet aspect le premier critère guidant leur choix de destination. Plusieurs facteurs expliquent ce phénomène : la pauvreté des pays en voie de développement, l’augmentation du nombre de voyageurs, la banalisation de l’usage commercial du corps, ou encore l’absence de lois. Les dommages physiques, psychologiques et sociaux sur les enfants sont immenses.
Des héritages culturels ?
L’excision est une intervention qui altère ou lèse intentionnellement les organes génitaux externes de la femme pour des raisons non médicales. Elle est souvent pratiquée sans anesthésie par un personnel non médical avec des instruments rudimentaires, et s’accompagne d’un traumatisme psychologique et physique chez les victimes. Ces pratiques ont pour origine des traditions sociales, religieuses, culturelles ou encore sexuelles. Les mutilations sexuelles féminines sont internationalement considérées comme une violation des droits des jeunes filles. De nombreuses actions, internationales avec l’UNICEF ou nationales comme au Mali, cherchent à sensibiliser les populations contre cette pratique.
Les dangers des médias
Devant la télévision ou d’un simple clic sur Internet, l’enfant n’est jamais à l’abri d’un contenu sexuel ou pornographique. De plus, les pédophiles et prédateurs sexuels utilisent souvent Internet pour entrer en contact avec des mineurs, peu méfiants et manquant d’expérience. Des actions sont menées dans certains pays. Par exemple, l’association Terre des hommes utilise le profil d’une fillette philippine fictive pour traquer les pédophiles sur Internet.
Les violences sexuelles à l’encontre des enfants sont une réalité régulièrement dénoncée, surtout depuis les années 1980. La lutte contre ces pratiques peut entraîner des contradictions avec des traditions ou des héritages culturels, toujours difficiles à surmonter.
L’exploitation sexuelle des enfants
Par l’article 34 de la Convention internationale des droits de l’enfant, les États s’engagent à protéger l’enfant contre toutes les formes d’exploitations sexuelles. Mais chaque année, 3 millions d’enfants sont victimes d’exploitation sexuelle dans le monde. 10 % des touristes font de cet aspect le premier critère guidant leur choix de destination. Plusieurs facteurs expliquent ce phénomène : la pauvreté des pays en voie de développement, l’augmentation du nombre de voyageurs, la banalisation de l’usage commercial du corps, ou encore l’absence de lois. Les dommages physiques, psychologiques et sociaux sur les enfants sont immenses.
Des héritages culturels ?
L’excision est une intervention qui altère ou lèse intentionnellement les organes génitaux externes de la femme pour des raisons non médicales. Elle est souvent pratiquée sans anesthésie par un personnel non médical avec des instruments rudimentaires, et s’accompagne d’un traumatisme psychologique et physique chez les victimes. Ces pratiques ont pour origine des traditions sociales, religieuses, culturelles ou encore sexuelles. Les mutilations sexuelles féminines sont internationalement considérées comme une violation des droits des jeunes filles. De nombreuses actions, internationales avec l’UNICEF ou nationales comme au Mali, cherchent à sensibiliser les populations contre cette pratique.
Les dangers des médias
Devant la télévision ou d’un simple clic sur Internet, l’enfant n’est jamais à l’abri d’un contenu sexuel ou pornographique. De plus, les pédophiles et prédateurs sexuels utilisent souvent Internet pour entrer en contact avec des mineurs, peu méfiants et manquant d’expérience. Des actions sont menées dans certains pays. Par exemple, l’association Terre des hommes utilise le profil d’une fillette philippine fictive pour traquer les pédophiles sur Internet.
Les violences sexuelles à l’encontre des enfants sont une réalité régulièrement dénoncée, surtout depuis les années 1980. La lutte contre ces pratiques peut entraîner des contradictions avec des traditions ou des héritages culturels, toujours difficiles à surmonter.
L’exploitation sexuelle des enfants
Par l’article 34 de la Convention internationale des droits de l’enfant, les États s’engagent à protéger l’enfant contre toutes les formes d’exploitations sexuelles. Mais chaque année, 3 millions d’enfants sont victimes d’exploitation sexuelle dans le monde. 10 % des touristes font de cet aspect le premier critère guidant leur choix de destination. Plusieurs facteurs expliquent ce phénomène : la pauvreté des pays en voie de développement, l’augmentation du nombre de voyageurs, la banalisation de l’usage commercial du corps, ou encore l’absence de lois. Les dommages physiques, psychologiques et sociaux sur les enfants sont immenses.
Des héritages culturels ?
L’excision est une intervention qui altère ou lèse intentionnellement les organes génitaux externes de la femme pour des raisons non médicales. Elle est souvent pratiquée sans anesthésie par un personnel non médical avec des instruments rudimentaires, et s’accompagne d’un traumatisme psychologique et physique chez les victimes. Ces pratiques ont pour origine des traditions sociales, religieuses, culturelles ou encore sexuelles. Les mutilations sexuelles féminines sont internationalement considérées comme une violation des droits des jeunes filles. De nombreuses actions, internationales avec l’UNICEF ou nationales comme au Mali, cherchent à sensibiliser les populations contre cette pratique.
Les dangers des médias
Devant la télévision ou d’un simple clic sur Internet, l’enfant n’est jamais à l’abri d’un contenu sexuel ou pornographique. De plus, les pédophiles et prédateurs sexuels utilisent souvent Internet pour entrer en contact avec des mineurs, peu méfiants et manquant d’expérience. Des actions sont menées dans certains pays. Par exemple, l’association Terre des hommes utilise le profil d’une fillette philippine fictive pour traquer les pédophiles sur Internet.