Difficultés de mise en oeuvre
L’ENFANT, UN ÊTRE À FORMER
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DES RÉGENTS ET D’ANCIENS ÉLÈVES TÉMOIGNENT
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Encore aujourd’hui, l’étude de la situation des enfants dans le monde montre de grandes inégalités. Un comité international d’experts existe pour orienter les efforts tandis que les initiatives nationales ou locales vont dans le sens du développement des droits de l’enfant.
Des disparités dans le monde
Des organisations établissent des critères d’évaluation précis de la situation des enfants dans chaque pays, matérialisation de la bonne application de la convention. L’UNICEF diffuse les données récoltées par le biais d’enquêtes à indicateurs multiples, standardisées mais adaptables selon la situation des pays. L’ONG Humanium publie chaque année une carte à partir d’un indice de concrétisation des droits de l’enfant. Les éléments pris en compte sont variés : santé, éducation, mobilisation de l’État ou encore stabilité politique du pays. Ces études permettent d’identifier les zones critiques, principalement situées en Afrique, et celles où des améliorations sont notables.
Un comité pour conseiller
La convention prévoit la création d’un Comité des droits de l’enfant pour surveiller son application et faire des recommandations. Un État peut demander de l’aide et des conseils au Comité. En cas d’infractions flagrantes, d’autres organismes internationaux sont compétents telle que la Cour internationale des droits de l’homme. Par exemple au Canada, le Comité recommande d’accentuer la politique en direction de la petite enfance. Ce qui se traduit au niveau du pays par un important investissement dans le domaine de l’éducation et des soins de santé en 2011-2012.
Encore des efforts à faire...
En Europe, le programme « Construire une Europe pour et avec les enfants 2012-2015 », accompagne les actions des États membres. Un guide pratique de la jurisprudence européenne est diffusé en 2015. En France, le Défenseur des enfants est chargé de promouvoir leurs droits. La suppression de ce poste en 2011 est très critiquée. Ses attributions principales sont depuis assumées par le Défenseur des droits qui a remis en 2015 son rapport périodique, attendu par le Comité des droits de l’enfant tous les 5 ans. Des reproches subsistent concernant la situation des enfants issus de minorités et la politique pénale appliquée aux mineurs.
Promenons-nous dans les droits
- Promenons-nous dans les droits
- Ni bête, ni homme, mais enfant
- Protéger par la loi
- De grandes personnalités au service des plus petits
- L’émergence internationale des droits de l’enfant
- Une convention universelle
- Difficultés de mise en oeuvre
- L’école, un droit en tension
- Aux maux des petits, les grands remèdes
- Les droits des enfants dans les conflits armés
- Droit à l’intégrité physique et morale
- Avoir une famille, un droit pour tous
Encore aujourd’hui, l’étude de la situation des enfants dans le monde montre de grandes inégalités. Un comité international d’experts existe pour orienter les efforts tandis que les initiatives nationales ou locales vont dans le sens du développement des droits de l’enfant.
Des disparités dans le monde
Des organisations établissent des critères d’évaluation précis de la situation des enfants dans chaque pays, matérialisation de la bonne application de la convention. L’UNICEF diffuse les données récoltées par le biais d’enquêtes à indicateurs multiples, standardisées mais adaptables selon la situation des pays. L’ONG Humanium publie chaque année une carte à partir d’un indice de concrétisation des droits de l’enfant. Les éléments pris en compte sont variés : santé, éducation, mobilisation de l’État ou encore stabilité politique du pays. Ces études permettent d’identifier les zones critiques, principalement situées en Afrique, et celles où des améliorations sont notables.
Un comité pour conseiller
La convention prévoit la création d’un Comité des droits de l’enfant pour surveiller son application et faire des recommandations. Un État peut demander de l’aide et des conseils au Comité. En cas d’infractions flagrantes, d’autres organismes internationaux sont compétents telle que la Cour internationale des droits de l’homme. Par exemple au Canada, le Comité recommande d’accentuer la politique en direction de la petite enfance. Ce qui se traduit au niveau du pays par un important investissement dans le domaine de l’éducation et des soins de santé en 2011-2012.
Encore des efforts à faire...
En Europe, le programme « Construire une Europe pour et avec les enfants 2012-2015 », accompagne les actions des États membres. Un guide pratique de la jurisprudence européenne est diffusé en 2015. En France, le Défenseur des enfants est chargé de promouvoir leurs droits. La suppression de ce poste en 2011 est très critiquée. Ses attributions principales sont depuis assumées par le Défenseur des droits qui a remis en 2015 son rapport périodique, attendu par le Comité des droits de l’enfant tous les 5 ans. Des reproches subsistent concernant la situation des enfants issus de minorités et la politique pénale appliquée aux mineurs.
Encore aujourd’hui, l’étude de la situation des enfants dans le monde montre de grandes inégalités. Un comité international d’experts existe pour orienter les efforts tandis que les initiatives nationales ou locales vont dans le sens du développement des droits de l’enfant.
Des disparités dans le monde
Des organisations établissent des critères d’évaluation précis de la situation des enfants dans chaque pays, matérialisation de la bonne application de la convention. L’UNICEF diffuse les données récoltées par le biais d’enquêtes à indicateurs multiples, standardisées mais adaptables selon la situation des pays. L’ONG Humanium publie chaque année une carte à partir d’un indice de concrétisation des droits de l’enfant. Les éléments pris en compte sont variés : santé, éducation, mobilisation de l’État ou encore stabilité politique du pays. Ces études permettent d’identifier les zones critiques, principalement situées en Afrique, et celles où des améliorations sont notables.
Un comité pour conseiller
La convention prévoit la création d’un Comité des droits de l’enfant pour surveiller son application et faire des recommandations. Un État peut demander de l’aide et des conseils au Comité. En cas d’infractions flagrantes, d’autres organismes internationaux sont compétents telle que la Cour internationale des droits de l’homme. Par exemple au Canada, le Comité recommande d’accentuer la politique en direction de la petite enfance. Ce qui se traduit au niveau du pays par un important investissement dans le domaine de l’éducation et des soins de santé en 2011-2012.
Encore des efforts à faire...
En Europe, le programme « Construire une Europe pour et avec les enfants 2012-2015 », accompagne les actions des États membres. Un guide pratique de la jurisprudence européenne est diffusé en 2015. En France, le Défenseur des enfants est chargé de promouvoir leurs droits. La suppression de ce poste en 2011 est très critiquée. Ses attributions principales sont depuis assumées par le Défenseur des droits qui a remis en 2015 son rapport périodique, attendu par le Comité des droits de l’enfant tous les 5 ans. Des reproches subsistent concernant la situation des enfants issus de minorités et la politique pénale appliquée aux mineurs.
Encore aujourd’hui, l’étude de la situation des enfants dans le monde montre de grandes inégalités. Un comité international d’experts existe pour orienter les efforts tandis que les initiatives nationales ou locales vont dans le sens du développement des droits de l’enfant.
Des disparités dans le monde
Des organisations établissent des critères d’évaluation précis de la situation des enfants dans chaque pays, matérialisation de la bonne application de la convention. L’UNICEF diffuse les données récoltées par le biais d’enquêtes à indicateurs multiples, standardisées mais adaptables selon la situation des pays. L’ONG Humanium publie chaque année une carte à partir d’un indice de concrétisation des droits de l’enfant. Les éléments pris en compte sont variés : santé, éducation, mobilisation de l’État ou encore stabilité politique du pays. Ces études permettent d’identifier les zones critiques, principalement situées en Afrique, et celles où des améliorations sont notables.
Un comité pour conseiller
La convention prévoit la création d’un Comité des droits de l’enfant pour surveiller son application et faire des recommandations. Un État peut demander de l’aide et des conseils au Comité. En cas d’infractions flagrantes, d’autres organismes internationaux sont compétents telle que la Cour internationale des droits de l’homme. Par exemple au Canada, le Comité recommande d’accentuer la politique en direction de la petite enfance. Ce qui se traduit au niveau du pays par un important investissement dans le domaine de l’éducation et des soins de santé en 2011-2012.
Encore des efforts à faire...
En Europe, le programme « Construire une Europe pour et avec les enfants 2012-2015 », accompagne les actions des États membres. Un guide pratique de la jurisprudence européenne est diffusé en 2015. En France, le Défenseur des enfants est chargé de promouvoir leurs droits. La suppression de ce poste en 2011 est très critiquée. Ses attributions principales sont depuis assumées par le Défenseur des droits qui a remis en 2015 son rapport périodique, attendu par le Comité des droits de l’enfant tous les 5 ans. Des reproches subsistent concernant la situation des enfants issus de minorités et la politique pénale appliquée aux mineurs.