Les droits des enfants dans les conflits armés
L’ENFANT, UN ÊTRE À FORMER
NOUVEAUX LIEUX, NOUVELLES INSTITUTIONS
DES RÉGENTS ET D’ANCIENS ÉLÈVES TÉMOIGNENT
BIBLIOTHÈQUE SONORE
La protection juridique des enfants pendant les guerres s’est construite en droit international durant tout le 20e siècle. Cette construction s’est faite progressivement et en plusieurs étapes, influencée par les conflits récents.
La lutte contre l’utilisation d’enfants soldats
La Convention internationale des droits de l’enfant de 1989 se donne pour objectif de limiter l’enrôlement des enfants dans les conflits armés. Ils sont encore aujourd’hui 300 000, garçons et filles, recrutés pour combattre ou utilisés en tant que messagers, espions, détecteurs de mines ou encore travailleurs forcés. La priorité est leur démobilisation, leur réinsertion dans leurs familles et leur réintégration dans le système scolaire, afin d’éviter un nouvel enrôlement. Il faut noter que l’article 38 de la CIDE qui interdit la participation des enfants aux conflits armés ne concerne que les moins de 15 ans.
Un renforcement des droits des enfants dans les textes internationaux
La Convention 182 de l’Organisation internationale du travail (OIT), adoptée à l’unanimité par ses États membres en 1999, dénonce l’enrôlement forcé comme l’une des « cinq pires formes de travail des enfants ». L’OIT souhaite démontrer que la CIDE est lacunaire puisque les adolescents de plus de 15 ans ne sont pas protégés contre cet enrôlement. Face à l’utilisation abusive des enfants soldats lors des conflits africains des années 1990, un protocole facultatif à la Convention internationale est adopté en mai 2000 pour combler ce vide juridique. L’engagement des moins de 18 ans doit désormais être volontaire et être accompagné de l’accord des parents.
Et aujourd’hui, quels acteurs pour garantir ces droits ?
Aujourd’hui, des actions dans de nombreux pays en guerre sont encore nécessaires pour assurer les droits des enfants. En 2014, le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) intervient contre l’enrôlement de force des enfants en République démocratique du Congo. En 2015, l’ONG Humanium finance un terrain de jeux dans un camp de réfugiés palestiniens. L’ONU et l’UNICEF ont pour mission de surveiller l’application des droits de l’enfant à travers le monde. La rédaction de nouveaux textes de loi par les États membres de l’ONU semble nécessaire pour envisager un régime de sanctions plus ferme.
Promenons-nous dans les droits
- Promenons-nous dans les droits
- Ni bête, ni homme, mais enfant
- Protéger par la loi
- De grandes personnalités au service des plus petits
- L’émergence internationale des droits de l’enfant
- Une convention universelle
- Difficultés de mise en oeuvre
- L’école, un droit en tension
- Aux maux des petits, les grands remèdes
- Les droits des enfants dans les conflits armés
- Droit à l’intégrité physique et morale
- Avoir une famille, un droit pour tous
La protection juridique des enfants pendant les guerres s’est construite en droit international durant tout le 20e siècle. Cette construction s’est faite progressivement et en plusieurs étapes, influencée par les conflits récents.
La lutte contre l’utilisation d’enfants soldats
La Convention internationale des droits de l’enfant de 1989 se donne pour objectif de limiter l’enrôlement des enfants dans les conflits armés. Ils sont encore aujourd’hui 300 000, garçons et filles, recrutés pour combattre ou utilisés en tant que messagers, espions, détecteurs de mines ou encore travailleurs forcés. La priorité est leur démobilisation, leur réinsertion dans leurs familles et leur réintégration dans le système scolaire, afin d’éviter un nouvel enrôlement. Il faut noter que l’article 38 de la CIDE qui interdit la participation des enfants aux conflits armés ne concerne que les moins de 15 ans.
Un renforcement des droits des enfants dans les textes internationaux
La Convention 182 de l’Organisation internationale du travail (OIT), adoptée à l’unanimité par ses États membres en 1999, dénonce l’enrôlement forcé comme l’une des « cinq pires formes de travail des enfants ». L’OIT souhaite démontrer que la CIDE est lacunaire puisque les adolescents de plus de 15 ans ne sont pas protégés contre cet enrôlement. Face à l’utilisation abusive des enfants soldats lors des conflits africains des années 1990, un protocole facultatif à la Convention internationale est adopté en mai 2000 pour combler ce vide juridique. L’engagement des moins de 18 ans doit désormais être volontaire et être accompagné de l’accord des parents.
Et aujourd’hui, quels acteurs pour garantir ces droits ?
Aujourd’hui, des actions dans de nombreux pays en guerre sont encore nécessaires pour assurer les droits des enfants. En 2014, le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) intervient contre l’enrôlement de force des enfants en République démocratique du Congo. En 2015, l’ONG Humanium finance un terrain de jeux dans un camp de réfugiés palestiniens. L’ONU et l’UNICEF ont pour mission de surveiller l’application des droits de l’enfant à travers le monde. La rédaction de nouveaux textes de loi par les États membres de l’ONU semble nécessaire pour envisager un régime de sanctions plus ferme.
La protection juridique des enfants pendant les guerres s’est construite en droit international durant tout le 20e siècle. Cette construction s’est faite progressivement et en plusieurs étapes, influencée par les conflits récents.
La lutte contre l’utilisation d’enfants soldats
La Convention internationale des droits de l’enfant de 1989 se donne pour objectif de limiter l’enrôlement des enfants dans les conflits armés. Ils sont encore aujourd’hui 300 000, garçons et filles, recrutés pour combattre ou utilisés en tant que messagers, espions, détecteurs de mines ou encore travailleurs forcés. La priorité est leur démobilisation, leur réinsertion dans leurs familles et leur réintégration dans le système scolaire, afin d’éviter un nouvel enrôlement. Il faut noter que l’article 38 de la CIDE qui interdit la participation des enfants aux conflits armés ne concerne que les moins de 15 ans.
Un renforcement des droits des enfants dans les textes internationaux
La Convention 182 de l’Organisation internationale du travail (OIT), adoptée à l’unanimité par ses États membres en 1999, dénonce l’enrôlement forcé comme l’une des « cinq pires formes de travail des enfants ». L’OIT souhaite démontrer que la CIDE est lacunaire puisque les adolescents de plus de 15 ans ne sont pas protégés contre cet enrôlement. Face à l’utilisation abusive des enfants soldats lors des conflits africains des années 1990, un protocole facultatif à la Convention internationale est adopté en mai 2000 pour combler ce vide juridique. L’engagement des moins de 18 ans doit désormais être volontaire et être accompagné de l’accord des parents.
Et aujourd’hui, quels acteurs pour garantir ces droits ?
Aujourd’hui, des actions dans de nombreux pays en guerre sont encore nécessaires pour assurer les droits des enfants. En 2014, le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) intervient contre l’enrôlement de force des enfants en République démocratique du Congo. En 2015, l’ONG Humanium finance un terrain de jeux dans un camp de réfugiés palestiniens. L’ONU et l’UNICEF ont pour mission de surveiller l’application des droits de l’enfant à travers le monde. La rédaction de nouveaux textes de loi par les États membres de l’ONU semble nécessaire pour envisager un régime de sanctions plus ferme.
La protection juridique des enfants pendant les guerres s’est construite en droit international durant tout le 20e siècle. Cette construction s’est faite progressivement et en plusieurs étapes, influencée par les conflits récents.
La lutte contre l’utilisation d’enfants soldats
La Convention internationale des droits de l’enfant de 1989 se donne pour objectif de limiter l’enrôlement des enfants dans les conflits armés. Ils sont encore aujourd’hui 300 000, garçons et filles, recrutés pour combattre ou utilisés en tant que messagers, espions, détecteurs de mines ou encore travailleurs forcés. La priorité est leur démobilisation, leur réinsertion dans leurs familles et leur réintégration dans le système scolaire, afin d’éviter un nouvel enrôlement. Il faut noter que l’article 38 de la CIDE qui interdit la participation des enfants aux conflits armés ne concerne que les moins de 15 ans.
Un renforcement des droits des enfants dans les textes internationaux
La Convention 182 de l’Organisation internationale du travail (OIT), adoptée à l’unanimité par ses États membres en 1999, dénonce l’enrôlement forcé comme l’une des « cinq pires formes de travail des enfants ». L’OIT souhaite démontrer que la CIDE est lacunaire puisque les adolescents de plus de 15 ans ne sont pas protégés contre cet enrôlement. Face à l’utilisation abusive des enfants soldats lors des conflits africains des années 1990, un protocole facultatif à la Convention internationale est adopté en mai 2000 pour combler ce vide juridique. L’engagement des moins de 18 ans doit désormais être volontaire et être accompagné de l’accord des parents.
Et aujourd’hui, quels acteurs pour garantir ces droits ?
Aujourd’hui, des actions dans de nombreux pays en guerre sont encore nécessaires pour assurer les droits des enfants. En 2014, le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) intervient contre l’enrôlement de force des enfants en République démocratique du Congo. En 2015, l’ONG Humanium finance un terrain de jeux dans un camp de réfugiés palestiniens. L’ONU et l’UNICEF ont pour mission de surveiller l’application des droits de l’enfant à travers le monde. La rédaction de nouveaux textes de loi par les États membres de l’ONU semble nécessaire pour envisager un régime de sanctions plus ferme.