Zohra
L’ENFANT, UN ÊTRE À FORMER
NOUVEAUX LIEUX, NOUVELLES INSTITUTIONS
DES RÉGENTS ET D’ANCIENS ÉLÈVES TÉMOIGNENT
BIBLIOTHÈQUE SONORE
58 ans, née au Maroc Fragments d’histoire de languesTerrain 5 : Adultes, 2016-2017. |
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Privée de père, d’école et d’accès au français, comme détournée d’un projet de mobilité socio-éducative et linguistique* Note de contextualisation : En France, la procédure du regroupement familial, qui s’inscrit dans un contexte de durcissement de la politique d’immigration, est instaurée sous le septennat du Président V. Giscard d’Estaing, par décret du 29 avril 1976. |
Marie-Claude Munoz, « Epouser au pays, vivre en France », (1999 : 105), décrit un continuum de mariages diversement arrangés, « prescrits » ou simplement imposés, plus ou moins consentis… |
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« Eux » / « nous », une frontière linguistique: le français langue des AutresZo. : - on entendait que les enfants apprenaient le français à l’école mais nous / on ne s’y intéressait pas / Zo. : - mon français / c’est un français cassé / un parler cassé Z. : - [les enfants] ils ont le français facile / comme nous on a l'arabe facile / Zo. : - ils parlent comme ci comme ça / les enfants d’ici / arabe mélangé / De la dualité au contact, un continuum de pratiques et compétences bi- / inter—lingues |
Fière de ses descendants, intégrés mais pas assimilés, des locuteurs bilingues |
* Note de contextualisation : En France, dans le domaine de la prise en charge éducative des enfants sourds, l’orientation « oraliste », de « (ré)éducation par la seule langue vocale » [excluant la langue des signes] domine dans les années 70 et se pratique encore dans les années 80 (Mugnier, Estève et Millet, 2006 : 83). Sa fille malentendante devient son interlocutrice en co-apprentissageLe français s’investit comme co-identitaire Devenir grand-mère, des questions de transmission et de compétences… |
Imaginaires plurilingues entre familles et écoles : expériences, parcours, démarches didactiques
- Imaginaires plurilingues entre familles et écoles
- 1. IMALING : problématique, étayages et référents, opérationnalisation du programme
- 2. IMALING : Corpus et analyses : 20 portraits sociolangagiers et analyses transversales
- Présentation générale du Corpus
- 6 Terrains et dispositifs de collecte du Corpus
- Petites notices de contextualisation sociolinguistique pour situer les univers de socialisation
- Algérie
- Angola
- Bangladesh
- Chine (Canton)
- Colombie
- Corée du Sud
- Gabon
- Ingouchie
- Maroc
- Mayotte, Anjouan, Comores
- Russie
- Sénégal
- Fragments d’histoires de langues en parcours de mobilités migratoires et d’insertion sociale
- Mode d'emploi
- Collégiens allophones en inclusion scolaire
- DA
- CG
- RU
- SL
- FA
- Des femmes, mères, grand-mères, en parcours d’intégration et d’appropriation du français
- Fatima
- Sahida
- Relyes
- ZH
- KH
- LA
- SI et ZU
- AS
- Zohra
- Farida
- Étudiants en mobilités migratoires et parcours d’insertion
- Seydou
- Laurianne et Hugues
- Mb
- Pour conclure et ouvrir : esquisse d’analyses croisées
- I. Socialisé.e.s dans l’hétérogénéité : des plurilinguismes complexes
- II. Pratiques (de transmission-appropriation) langagières familiales
- III. Histoires de langues, histoires d’écoles
- IV. Des étapes biographiques, des questions sociolangagières tout au long de la vie
- V. Migrant un jour…. Migrant toujours ?... et à propos « d’intégration »
- VI. Regarder autrement, pour faire boule de neige
- 4. IMALING : Mallettes et ressources co-éducatives plurilingues et interculturelles
- Qui sommes-nous ?
58 ans, née au Maroc Fragments d’histoire de languesTerrain 5 : Adultes, 2016-2017. |
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Privée de père, d’école et d’accès au français, comme détournée d’un projet de mobilité socio-éducative et linguistique* Note de contextualisation : En France, la procédure du regroupement familial, qui s’inscrit dans un contexte de durcissement de la politique d’immigration, est instaurée sous le septennat du Président V. Giscard d’Estaing, par décret du 29 avril 1976. |
Marie-Claude Munoz, « Epouser au pays, vivre en France », (1999 : 105), décrit un continuum de mariages diversement arrangés, « prescrits » ou simplement imposés, plus ou moins consentis… |
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« Eux » / « nous », une frontière linguistique: le français langue des AutresZo. : - on entendait que les enfants apprenaient le français à l’école mais nous / on ne s’y intéressait pas / Zo. : - mon français / c’est un français cassé / un parler cassé Z. : - [les enfants] ils ont le français facile / comme nous on a l'arabe facile / Zo. : - ils parlent comme ci comme ça / les enfants d’ici / arabe mélangé / De la dualité au contact, un continuum de pratiques et compétences bi- / inter—lingues |
Fière de ses descendants, intégrés mais pas assimilés, des locuteurs bilingues |
* Note de contextualisation : En France, dans le domaine de la prise en charge éducative des enfants sourds, l’orientation « oraliste », de « (ré)éducation par la seule langue vocale » [excluant la langue des signes] domine dans les années 70 et se pratique encore dans les années 80 (Mugnier, Estève et Millet, 2006 : 83). Sa fille malentendante devient son interlocutrice en co-apprentissageLe français s’investit comme co-identitaire Devenir grand-mère, des questions de transmission et de compétences… |
58 ans, née au Maroc Fragments d’histoire de languesTerrain 5 : Adultes, 2016-2017. |
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Privée de père, d’école et d’accès au français, comme détournée d’un projet de mobilité socio-éducative et linguistique* Note de contextualisation : En France, la procédure du regroupement familial, qui s’inscrit dans un contexte de durcissement de la politique d’immigration, est instaurée sous le septennat du Président V. Giscard d’Estaing, par décret du 29 avril 1976. |
Marie-Claude Munoz, « Epouser au pays, vivre en France », (1999 : 105), décrit un continuum de mariages diversement arrangés, « prescrits » ou simplement imposés, plus ou moins consentis… |
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« Eux » / « nous », une frontière linguistique: le français langue des AutresZo. : - on entendait que les enfants apprenaient le français à l’école mais nous / on ne s’y intéressait pas / Zo. : - mon français / c’est un français cassé / un parler cassé Z. : - [les enfants] ils ont le français facile / comme nous on a l'arabe facile / Zo. : - ils parlent comme ci comme ça / les enfants d’ici / arabe mélangé / De la dualité au contact, un continuum de pratiques et compétences bi- / inter—lingues |
Fière de ses descendants, intégrés mais pas assimilés, des locuteurs bilingues |
* Note de contextualisation : En France, dans le domaine de la prise en charge éducative des enfants sourds, l’orientation « oraliste », de « (ré)éducation par la seule langue vocale » [excluant la langue des signes] domine dans les années 70 et se pratique encore dans les années 80 (Mugnier, Estève et Millet, 2006 : 83). Sa fille malentendante devient son interlocutrice en co-apprentissageLe français s’investit comme co-identitaire Devenir grand-mère, des questions de transmission et de compétences… |
58 ans, née au Maroc Fragments d’histoire de languesTerrain 5 : Adultes, 2016-2017. |
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Privée de père, d’école et d’accès au français, comme détournée d’un projet de mobilité socio-éducative et linguistique* Note de contextualisation : En France, la procédure du regroupement familial, qui s’inscrit dans un contexte de durcissement de la politique d’immigration, est instaurée sous le septennat du Président V. Giscard d’Estaing, par décret du 29 avril 1976. |
Marie-Claude Munoz, « Epouser au pays, vivre en France », (1999 : 105), décrit un continuum de mariages diversement arrangés, « prescrits » ou simplement imposés, plus ou moins consentis… |
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« Eux » / « nous », une frontière linguistique: le français langue des AutresZo. : - on entendait que les enfants apprenaient le français à l’école mais nous / on ne s’y intéressait pas / Zo. : - mon français / c’est un français cassé / un parler cassé Z. : - [les enfants] ils ont le français facile / comme nous on a l'arabe facile / Zo. : - ils parlent comme ci comme ça / les enfants d’ici / arabe mélangé / De la dualité au contact, un continuum de pratiques et compétences bi- / inter—lingues |
Fière de ses descendants, intégrés mais pas assimilés, des locuteurs bilingues |
* Note de contextualisation : En France, dans le domaine de la prise en charge éducative des enfants sourds, l’orientation « oraliste », de « (ré)éducation par la seule langue vocale » [excluant la langue des signes] domine dans les années 70 et se pratique encore dans les années 80 (Mugnier, Estève et Millet, 2006 : 83). Sa fille malentendante devient son interlocutrice en co-apprentissageLe français s’investit comme co-identitaire Devenir grand-mère, des questions de transmission et de compétences… |